Les paroles de la chanson
« La petite olive »
Les Wriggles
Julie la p’tite olive
Rêvait de voyager
Mais elle était captive
D’un rameau d’olivier
Elle tannait ses copines à longueur de journée
Avec les Philippines et Saint-Germain-des-Prés
C’est bon Julie, arrête de nous les briser
Tu sais bien que notre vie finira dans un panier
On est nées pour faire de l’huile d’olive
C’est comme ça c’est la nature
Et c’est très bon avec les endives
Julie la p’tite olive l’entendait pas de cette oreille
Comme elle avait la verve vive elle prit à partie le soleil :
"Vous Monsieur vous tournez près de vingt-quatre heures par jour
Le monde vous le connaissez vous en avez déjà fait l’tour
Moi je suis prisonnière de cette grosse branche en bois
Dites-moi donc c’qu’il s’passe sur terre
Oh oui siouplaît racontez-moi..."
C’est bon Julie arrête de les lui briser
Tu sais bien que notre vie finira dans un saladier
On est nées pour faire copines avec les endives
Le soleil lui y s’en tape y connaît rien à l’huile d’olive!
Mais l’astre du jour par sa requête fut ému
Et lui dit rayonnant d’amour : "Je vais commencer au début"
Au bout d’une dizaine de mois
Il finissait le préambule
Le big bang et tous ces trucs-là
La naissance d’une première cellule
Et Julie l’écoutait passionnée attentive
Ouvrant grand ses oreilles pour n’en point perdre un mot
Mais hélas la vendange tardive des olives
Coupa leur entretien
Avec tout le rameau
Cette fois Julie c’est terminé
Allez monte dans le camion qui nous emmène chez Puget
T’étais née pour faire de l’huile d’olive
Maintenant tu fermes ta gueule et tu dis bonjour aux endives
Mais Julie ignorait que le soleil ce gros bavard
De lumière l’avait gavée pendant qu’il contait ses histoires
Et arrivée au pressoir
Le propriétaire agricole eut besoin d’une chaise pour s’asseoir
Et s’écria :
"Oh la bestiole!
Crénom de nom
C’qu’boudiou j’hallucinions
Par les balloches du cornu
J’ai dû abuser du litron
Cette olive on dirait
Qu’c’est la couille de Godzilla
Va m’en falloir des endives
Pour me contenter c’te bête là"!
Et Julie que la joie inonde
Grâce au miracle de la nature
S’est tapée quatre tours du monde
Dans les salons d’l’agriculture
Dans les salons d’l’agriculture.
Rêvait de voyager
Mais elle était captive
D’un rameau d’olivier
Elle tannait ses copines à longueur de journée
Avec les Philippines et Saint-Germain-des-Prés
C’est bon Julie, arrête de nous les briser
Tu sais bien que notre vie finira dans un panier
On est nées pour faire de l’huile d’olive
C’est comme ça c’est la nature
Et c’est très bon avec les endives
Julie la p’tite olive l’entendait pas de cette oreille
Comme elle avait la verve vive elle prit à partie le soleil :
"Vous Monsieur vous tournez près de vingt-quatre heures par jour
Le monde vous le connaissez vous en avez déjà fait l’tour
Moi je suis prisonnière de cette grosse branche en bois
Dites-moi donc c’qu’il s’passe sur terre
Oh oui siouplaît racontez-moi..."
C’est bon Julie arrête de les lui briser
Tu sais bien que notre vie finira dans un saladier
On est nées pour faire copines avec les endives
Le soleil lui y s’en tape y connaît rien à l’huile d’olive!
Mais l’astre du jour par sa requête fut ému
Et lui dit rayonnant d’amour : "Je vais commencer au début"
Au bout d’une dizaine de mois
Il finissait le préambule
Le big bang et tous ces trucs-là
La naissance d’une première cellule
Et Julie l’écoutait passionnée attentive
Ouvrant grand ses oreilles pour n’en point perdre un mot
Mais hélas la vendange tardive des olives
Coupa leur entretien
Avec tout le rameau
Cette fois Julie c’est terminé
Allez monte dans le camion qui nous emmène chez Puget
T’étais née pour faire de l’huile d’olive
Maintenant tu fermes ta gueule et tu dis bonjour aux endives
Mais Julie ignorait que le soleil ce gros bavard
De lumière l’avait gavée pendant qu’il contait ses histoires
Et arrivée au pressoir
Le propriétaire agricole eut besoin d’une chaise pour s’asseoir
Et s’écria :
"Oh la bestiole!
Crénom de nom
C’qu’boudiou j’hallucinions
Par les balloches du cornu
J’ai dû abuser du litron
Cette olive on dirait
Qu’c’est la couille de Godzilla
Va m’en falloir des endives
Pour me contenter c’te bête là"!
Et Julie que la joie inonde
Grâce au miracle de la nature
S’est tapée quatre tours du monde
Dans les salons d’l’agriculture
Dans les salons d’l’agriculture.