Les paroles de la chanson
« La navale »
William Sheller
Je suis resté longtemps à me dire
Pourquoi faire, pourquoi encore lui écrire
Souvent, souvent
On compte les jours en parlant
Avec le vent,
Et tout ce qu’on laisse en arrière
Ne reste pas gravé sur la mer.
Je vous ai vue rester sur terre
Nous regarder au loin, si loin
Longtemps, longtemps
Et puis la nuit simplement
Est montée dans l’air
Nos histoires l’indiffèrent
On s’en va droit devant sur la mer.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a embarqué
Si je vais revenir un jour
Qui peut dire
Je ne voudrais pas vous mentir
Sûrement, sûrement
Ça dépendra des grands vents
Et des longs courants
Mais s’il se doit faut s’y faire
Ce sera toute une vie sur la mer.
Je me sens assez maladroit
Il fait froid
Je ne sais pas très bien écrire
Seulement, seulement
J’aimerai qu’un jour
Vous pensiez encore à moi
En leur disant que naguère
Quelqu’un vous a aimé sur la mer.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a embarqué.
Voilà tout ce que j’ai pu lire
Tout est là
Tout ce qu’il a pu vous écrire
Vraiment, vraiment
Vous m’excuserez
Simplement
Je crois qu’on vous attend
Nous passerons prendre vos affaires
Par le chemin qui donne sur la mer.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a embarqué.
On a traversé tant de pluies
Que l’étendard en est trempé.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a emporté.
On a traversé tant de pluies
Que l’étendard en a plongé...
Que l’étendard en a plongé.
Pourquoi faire, pourquoi encore lui écrire
Souvent, souvent
On compte les jours en parlant
Avec le vent,
Et tout ce qu’on laisse en arrière
Ne reste pas gravé sur la mer.
Je vous ai vue rester sur terre
Nous regarder au loin, si loin
Longtemps, longtemps
Et puis la nuit simplement
Est montée dans l’air
Nos histoires l’indiffèrent
On s’en va droit devant sur la mer.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a embarqué
Si je vais revenir un jour
Qui peut dire
Je ne voudrais pas vous mentir
Sûrement, sûrement
Ça dépendra des grands vents
Et des longs courants
Mais s’il se doit faut s’y faire
Ce sera toute une vie sur la mer.
Je me sens assez maladroit
Il fait froid
Je ne sais pas très bien écrire
Seulement, seulement
J’aimerai qu’un jour
Vous pensiez encore à moi
En leur disant que naguère
Quelqu’un vous a aimé sur la mer.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a embarqué.
Voilà tout ce que j’ai pu lire
Tout est là
Tout ce qu’il a pu vous écrire
Vraiment, vraiment
Vous m’excuserez
Simplement
Je crois qu’on vous attend
Nous passerons prendre vos affaires
Par le chemin qui donne sur la mer.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a embarqué.
On a traversé tant de pluies
Que l’étendard en est trempé.
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire m’a emporté.
On a traversé tant de pluies
Que l’étendard en a plongé...
Que l’étendard en a plongé.