Les paroles de la chanson
« La muse du temps passé »
Louis Capart
[Couplet 1]
Sur le chemin de l’école
On disait qu’elle était folle
Elle marchait souvent seule et racontait
Des histoires comme j’aime
Encore en vivre moi-même
J’y retrouvais les poèmes que j’écrivais
Sur le chemin de l’école
On faisait des farandoles
Mais jamais osé prendre sa main
J’étais pauvre bien plus qu’elle
Je n’étais pas fait pour elle
Mes projets lui semblaient trop enfantins.
[Refrain]
La muse de mon passé
Ma voisine de palier
N’était pas la princesse de mon quartier
Mais par elle j’ai souffert
J’ai vu le monde à l’envers
Et pourtant j’ai très envie d’en parler.
[Couplet 2]
Je dessinais ses marelles
Je crois que j’étais fou d’elle
Je manquais de réalisme simplement
J’étais premier de ma classe
D’ailleurs j’en garde des traces
Etre chanteur ce n’est guère brillant
Mais quand on veut pour sa belle
Ëtre l’homme universel
Celui qui parle en algèbre couramment
Il faut penser en gagneur
Et être un jour le meilleur
Je fus longtemps fonctionnaire à plein temps.
[Refrain]
[Couplet 3]
Un tantinet pointilleux
Petit Rimbaud de banlieue
J’ai écrit des poèmes et des longs discours
Mais pour mes copains d’école
Pas du genre qui console
Un grand amour rime avec calembour
Quand le charme de l’aubade
Fait place à la rigolade
Adieu mandoline et gentil troubadour
On sait que dans les cantines
Bien des têtes enfantines
Ont du malheur un grand sens de l’humour.
[Refrain]
[Couplet 4]
La fille des farandoles
Sur le chemin de l’école
Mena sa vie de bien bizarre façon
Les histoires comme j’aime
Encore vivre moi- même
Un jour ont sombré dans la dérision
Elle épousa pour sa peine
Un gros mari plein de haine
Pour tous les poètes et libres chanteurs
Sur les chemins de l’école
J’ai eu cette chance folle
De n’être jamais l’élu de son cœur
[Dernier refrain]
La muse de mon passé
Ma voisine de palier
N’était pas la princesse de mon quartier
Mais par elle j’ai souffert
J’ai vu le monde à l’envers
Et pourtant j’ai...eu envie d’en parler.
Sur le chemin de l’école
On disait qu’elle était folle
Elle marchait souvent seule et racontait
Des histoires comme j’aime
Encore en vivre moi-même
J’y retrouvais les poèmes que j’écrivais
Sur le chemin de l’école
On faisait des farandoles
Mais jamais osé prendre sa main
J’étais pauvre bien plus qu’elle
Je n’étais pas fait pour elle
Mes projets lui semblaient trop enfantins.
[Refrain]
La muse de mon passé
Ma voisine de palier
N’était pas la princesse de mon quartier
Mais par elle j’ai souffert
J’ai vu le monde à l’envers
Et pourtant j’ai très envie d’en parler.
[Couplet 2]
Je dessinais ses marelles
Je crois que j’étais fou d’elle
Je manquais de réalisme simplement
J’étais premier de ma classe
D’ailleurs j’en garde des traces
Etre chanteur ce n’est guère brillant
Mais quand on veut pour sa belle
Ëtre l’homme universel
Celui qui parle en algèbre couramment
Il faut penser en gagneur
Et être un jour le meilleur
Je fus longtemps fonctionnaire à plein temps.
[Refrain]
[Couplet 3]
Un tantinet pointilleux
Petit Rimbaud de banlieue
J’ai écrit des poèmes et des longs discours
Mais pour mes copains d’école
Pas du genre qui console
Un grand amour rime avec calembour
Quand le charme de l’aubade
Fait place à la rigolade
Adieu mandoline et gentil troubadour
On sait que dans les cantines
Bien des têtes enfantines
Ont du malheur un grand sens de l’humour.
[Refrain]
[Couplet 4]
La fille des farandoles
Sur le chemin de l’école
Mena sa vie de bien bizarre façon
Les histoires comme j’aime
Encore vivre moi- même
Un jour ont sombré dans la dérision
Elle épousa pour sa peine
Un gros mari plein de haine
Pour tous les poètes et libres chanteurs
Sur les chemins de l’école
J’ai eu cette chance folle
De n’être jamais l’élu de son cœur
[Dernier refrain]
La muse de mon passé
Ma voisine de palier
N’était pas la princesse de mon quartier
Mais par elle j’ai souffert
J’ai vu le monde à l’envers
Et pourtant j’ai...eu envie d’en parler.