Les paroles de la chanson
« La môme catch-catch »
Fréhel
On a fait toute une affaire
Des lutteurs, des catcheurs, des boxeurs, des tombeurs,
Pour moi ça c’est de la petite bière
Tous ces mecs à biceps ne m’ont jamais fait peur
Leur soi-disant combat, c’est du chiqué
Ils passent leurs temps à s’caresser
Si y en a un dans la salle aujourd’hui
Qu’il vienne ici, il s’ra servi!
{Refrain:}
C’est moi la môme catch-catch
Voyez mes gros biscottos
Costauds
Avec ça j’ai l’air vache
Et une paire de pectoraux
Taureau!
J’ai une poigne de fer,
Un cœur en acier,
La gueule en or
Et les deux pieds nickelés
J’fais les pieds au mur,
Le grand écart
Et je crache à quinze pas
Je bois du gros qui tache
C’est moi la môme catch-catch!
Un jour dans une bagarre
Avec deux affranchis dans l’quartier de l’Arsenal
J’ai cogné sans crier gare
Le premier en est mort, l’autre est à l’hôpital
Les flics sont arrivés, naturellement
Bien après l’coup, c’est plus prudent,
"Ton nom?" me dit le commissaire au car
J’lui dis "y a que toi pour pas le savoir"
{au Refrain}
J’ai une poigne de fer,
Un cœur en acier,
La gueule en or
Et les deux pieds tatoués
J’fais les pieds au mur,
Le grand écart
Et je crache à quinze pas
Je bois du gros qui tache
C’est moi la môme catch-catch!
Des lutteurs, des catcheurs, des boxeurs, des tombeurs,
Pour moi ça c’est de la petite bière
Tous ces mecs à biceps ne m’ont jamais fait peur
Leur soi-disant combat, c’est du chiqué
Ils passent leurs temps à s’caresser
Si y en a un dans la salle aujourd’hui
Qu’il vienne ici, il s’ra servi!
{Refrain:}
C’est moi la môme catch-catch
Voyez mes gros biscottos
Costauds
Avec ça j’ai l’air vache
Et une paire de pectoraux
Taureau!
J’ai une poigne de fer,
Un cœur en acier,
La gueule en or
Et les deux pieds nickelés
J’fais les pieds au mur,
Le grand écart
Et je crache à quinze pas
Je bois du gros qui tache
C’est moi la môme catch-catch!
Un jour dans une bagarre
Avec deux affranchis dans l’quartier de l’Arsenal
J’ai cogné sans crier gare
Le premier en est mort, l’autre est à l’hôpital
Les flics sont arrivés, naturellement
Bien après l’coup, c’est plus prudent,
"Ton nom?" me dit le commissaire au car
J’lui dis "y a que toi pour pas le savoir"
{au Refrain}
J’ai une poigne de fer,
Un cœur en acier,
La gueule en or
Et les deux pieds tatoués
J’fais les pieds au mur,
Le grand écart
Et je crache à quinze pas
Je bois du gros qui tache
C’est moi la môme catch-catch!