Les paroles de la chanson
« La mer est là »
Alain Barrière
La mer est là qui me murmure
Ces mots d’amour et d’infini
La mer est là qui me rassure
Le miracle n’est pas fini
Je renaîtrai de mes blessures
La mer est là qui me le dit
Je ne serai jamais parjure
A cette nuit
La mer caresse ton visage
Elle parle doucement de toi
Devais-je t’aimer davantage?
T’ai-je donné assez de moi?
Un brûlant état sauvage
Un feu secret inassouvi
Retrouverons-nous le rivage
Après la nuit?
Bien sûr il y eut ces orages
De ses tempêtes et de ses cris
La mer se venge, elle nous rejette
Et nous renie
Sourit de nos pauvres naufrages
Et de leur vanité
La mer apprend l’humilité
Écoute mon âme lointaine
Comme il est fragile et précis
Ce chant qui vient des sirènes
Pour qu’elle ait peur, quelle folie!
L’homme ne sera jamais lui-même
Qu’au bout du cœur de tragédie
Grand Dieu fallait-il que je t’aime
Dans cette vie?
Et j’ai pleuré mille manières
Désespéré, abasourdi, face à la mer
Devant les portes de la nuit
Mais elle garde ses mystères
Même en ces soirs d’été
Même pour ceux qui l’ont chantée
La mer est là qui me murmure
Ces mots d’amour et d’infini
La mer est là qui me rassure
Le miracle n’est pas fini
La mer reflète ton visage
Pour quelle étrange prophétie?
Retrouverons-nous le rivage
Après la nuit?
Bien sûr il y eut ces orages
De ses tempêtes et de ses cris
La mer se moque, elle nous rejette
Et nous renie
Elle nous gardera ses mystères
Même en ces soirs d’été
La mer pour ceux qui l’ont chantée
Ces mots d’amour et d’infini
La mer est là qui me rassure
Le miracle n’est pas fini
Je renaîtrai de mes blessures
La mer est là qui me le dit
Je ne serai jamais parjure
A cette nuit
La mer caresse ton visage
Elle parle doucement de toi
Devais-je t’aimer davantage?
T’ai-je donné assez de moi?
Un brûlant état sauvage
Un feu secret inassouvi
Retrouverons-nous le rivage
Après la nuit?
Bien sûr il y eut ces orages
De ses tempêtes et de ses cris
La mer se venge, elle nous rejette
Et nous renie
Sourit de nos pauvres naufrages
Et de leur vanité
La mer apprend l’humilité
Écoute mon âme lointaine
Comme il est fragile et précis
Ce chant qui vient des sirènes
Pour qu’elle ait peur, quelle folie!
L’homme ne sera jamais lui-même
Qu’au bout du cœur de tragédie
Grand Dieu fallait-il que je t’aime
Dans cette vie?
Et j’ai pleuré mille manières
Désespéré, abasourdi, face à la mer
Devant les portes de la nuit
Mais elle garde ses mystères
Même en ces soirs d’été
Même pour ceux qui l’ont chantée
La mer est là qui me murmure
Ces mots d’amour et d’infini
La mer est là qui me rassure
Le miracle n’est pas fini
La mer reflète ton visage
Pour quelle étrange prophétie?
Retrouverons-nous le rivage
Après la nuit?
Bien sûr il y eut ces orages
De ses tempêtes et de ses cris
La mer se moque, elle nous rejette
Et nous renie
Elle nous gardera ses mystères
Même en ces soirs d’été
La mer pour ceux qui l’ont chantée