Les paroles de la chanson
« La maladresse »
Les Colocs
Veux-tu vraiment savoir
Quand tu me demandes: « Ça va? »
C’est pas la vraie réponse, mais...
Je n’te connais pas
C’est nickel tout est beau
Le cerveau qui fonctionne
Te dirait le bonhomme
Qui parfois se sent comme
Une maladresse du hasard
La cavalerie toujours en retard
Un mini plaisir de passage
Vraiment pas d’quoi faire un fromage
Un innocent dans une prison
Un point à la ligne d’horizon
Un journal qu’on a fini d’lire
Une photographie qu’on déchire
Un mendiant sur le mauvais trottoir
Une vieille pute au fond d’un bar
Un loup dans une bergerie
Un téléphone qu’on oublie
Une préface au kama-sutra
Un fauteuil vide au cinéma
Un paquet de clopes pas d’allumettes
Comme un myope sans ses lunettes
Une valise sans poignée
Un ours qui hiberne en été
Comme un ver de terre sur l’hameçon
Un premier ministre en caleçon
Une aiguille dans une botte de foin
Une affaire qu’on remet à demain
Un coup de canif dans le contrat
À un ami je dirais tout ça, mais...
Ce soir j’ai pas envie de parler
Encore trop de choses à cacher
S’il-te-plaît ne m’demande rien
Je vais me mentir puis c’est pas bien
Mais si tu veux je t’offre une bière
Je vais partir dans un moment
Ronger mon frein en solitaire
Pour arrêter de faire semblant
« Allez, salut, ben ouais
J’m’en vais, ben, ouais c’est ça
J’m’en vais à la maison, ouais puis
Et puis on se recroise une prochaine fois
Ben oui, ben
Non, ben j’sais pas
J’sais pas, non, quand je vais revenir, mais
À plus tard donc »
Quand tu me demandes: « Ça va? »
C’est pas la vraie réponse, mais...
Je n’te connais pas
C’est nickel tout est beau
Le cerveau qui fonctionne
Te dirait le bonhomme
Qui parfois se sent comme
Une maladresse du hasard
La cavalerie toujours en retard
Un mini plaisir de passage
Vraiment pas d’quoi faire un fromage
Un innocent dans une prison
Un point à la ligne d’horizon
Un journal qu’on a fini d’lire
Une photographie qu’on déchire
Un mendiant sur le mauvais trottoir
Une vieille pute au fond d’un bar
Un loup dans une bergerie
Un téléphone qu’on oublie
Une préface au kama-sutra
Un fauteuil vide au cinéma
Un paquet de clopes pas d’allumettes
Comme un myope sans ses lunettes
Une valise sans poignée
Un ours qui hiberne en été
Comme un ver de terre sur l’hameçon
Un premier ministre en caleçon
Une aiguille dans une botte de foin
Une affaire qu’on remet à demain
Un coup de canif dans le contrat
À un ami je dirais tout ça, mais...
Ce soir j’ai pas envie de parler
Encore trop de choses à cacher
S’il-te-plaît ne m’demande rien
Je vais me mentir puis c’est pas bien
Mais si tu veux je t’offre une bière
Je vais partir dans un moment
Ronger mon frein en solitaire
Pour arrêter de faire semblant
« Allez, salut, ben ouais
J’m’en vais, ben, ouais c’est ça
J’m’en vais à la maison, ouais puis
Et puis on se recroise une prochaine fois
Ben oui, ben
Non, ben j’sais pas
J’sais pas, non, quand je vais revenir, mais
À plus tard donc »