Les paroles de la chanson
« La luna »
Catherine Ribeiro
Et la lune qui vagabondait
Entre nuage et cyprès
Une larme s’écrasait dessus la mer
Et l’enfant qui la regardait
La prenant pour un lampion
Entendit des pleurs et des lamentations
La misère... jamais...
La misère... jamais...
Jamais...
Dans mon espace interstellaire
Eblouie par les étoiles
Je décorais la pénombre pour ses yeux
Que la lumière ne capte pas
Dans mon profond désespoir
L’aveuglant profil du froid et de la faim
La misère... la misère...
La honte... la honte...
La misère...
Dans l’angoisse, je serai complice
Confidente de tous ses rêves
Réconfort dans le sommeil de ses rancoeurs
Je serai vent de sa révolte
Et abri de ses frayeurs
Le miroir de son dépit pour l’Univers
La misère... jamais...
La misère... jamais...
Jamais...
Et la lune qui vagabondait
Dans les siècles de ses yeux
Une larme s’écrasait dessus
La misère... la misère...
La honte... la honte...
La misère...
Entre nuage et cyprès
Une larme s’écrasait dessus la mer
Et l’enfant qui la regardait
La prenant pour un lampion
Entendit des pleurs et des lamentations
La misère... jamais...
La misère... jamais...
Jamais...
Dans mon espace interstellaire
Eblouie par les étoiles
Je décorais la pénombre pour ses yeux
Que la lumière ne capte pas
Dans mon profond désespoir
L’aveuglant profil du froid et de la faim
La misère... la misère...
La honte... la honte...
La misère...
Dans l’angoisse, je serai complice
Confidente de tous ses rêves
Réconfort dans le sommeil de ses rancoeurs
Je serai vent de sa révolte
Et abri de ses frayeurs
Le miroir de son dépit pour l’Univers
La misère... jamais...
La misère... jamais...
Jamais...
Et la lune qui vagabondait
Dans les siècles de ses yeux
Une larme s’écrasait dessus
La misère... la misère...
La honte... la honte...
La misère...