Les paroles de la chanson
« La lettre »
Aldebert
On s’est perdu tout doucement
T’avais tes potes et moi mon clan
Les sentiments en centimes
Consommé les fruits et les fleurs
Perdu l’appétit du bonheur
Nos estimes qui s’abîment
Décide qui de nous deux restera
Lucide, de l’eau dans les yeux je tremble à tout va
Des cimes jusqu’aux racines, tu restes là
Pantomime
Deux pantins anonymes
Combien de fois le tour du problème
L’amour est enfant de bohème
Quelques impressions légitimes
Et quand bien même on se figure
Que le temps malmène, défigure
Surtout ne rien laisser paraître en vitrine
Décide qui de nous deux restera
Lucide, de l’eau dans les yeux je tremble à tout va
Des cimes jusqu’aux racines, tu restes là
Magnanimes
Deux voisins unanimes
Tout ce qu’on ne voulait pas
Nous appelle à petits pas
J’aimerais qu’on se raconte sans avoir bu
Revivre le conte de fées du début
Que nos songes se subliment
Décide qui de nous deux comblera
Le vide, de l’eau sur le feu, je franchis le pas
Et signe du bout des doigts, Reste avec moi
T’avais tes potes et moi mon clan
Les sentiments en centimes
Consommé les fruits et les fleurs
Perdu l’appétit du bonheur
Nos estimes qui s’abîment
Décide qui de nous deux restera
Lucide, de l’eau dans les yeux je tremble à tout va
Des cimes jusqu’aux racines, tu restes là
Pantomime
Deux pantins anonymes
Combien de fois le tour du problème
L’amour est enfant de bohème
Quelques impressions légitimes
Et quand bien même on se figure
Que le temps malmène, défigure
Surtout ne rien laisser paraître en vitrine
Décide qui de nous deux restera
Lucide, de l’eau dans les yeux je tremble à tout va
Des cimes jusqu’aux racines, tu restes là
Magnanimes
Deux voisins unanimes
Tout ce qu’on ne voulait pas
Nous appelle à petits pas
J’aimerais qu’on se raconte sans avoir bu
Revivre le conte de fées du début
Que nos songes se subliment
Décide qui de nous deux comblera
Le vide, de l’eau sur le feu, je franchis le pas
Et signe du bout des doigts, Reste avec moi