Les paroles de la chanson
« La grèce »
Anne Vanderlove
Ils sont venus le prendre
À sept heures du matin
Pour l’emmener apprendre
Ce qu’est un citoyen
Le palais, les tortures
Et les fusils, enfin
Le dos contre le mur
C’est son dernier matin
L’a des balles plein les yeux
Et son sang sur la pierre
Il est mort sous les cieux
Il y a des militaires
Dans la rue y a des gens
Qui rampent sous les matraques
Pendues au firmament
Si tu l’ouvres, ça claque!
Il est sept heures, s’éveille
Un vieux colonel.
Une fleur du Péloponèse
Est morte dans ses murs
Les oiseaux vont chanter
Leurs petits cris brûlants
Le jour va se lever
Sous des gouttes de sang
Y a le soleil aussi
Qui brûle et vient chanter
Un amour sans folie
Qui ne veut plus chanter
Pendant ce temps, tu bois
Ton café au lait, presse-toi!
Moi, je dors encore
En rêvant à la Grèce
À sept heures du matin
Pour l’emmener apprendre
Ce qu’est un citoyen
Le palais, les tortures
Et les fusils, enfin
Le dos contre le mur
C’est son dernier matin
L’a des balles plein les yeux
Et son sang sur la pierre
Il est mort sous les cieux
Il y a des militaires
Dans la rue y a des gens
Qui rampent sous les matraques
Pendues au firmament
Si tu l’ouvres, ça claque!
Il est sept heures, s’éveille
Un vieux colonel.
Une fleur du Péloponèse
Est morte dans ses murs
Les oiseaux vont chanter
Leurs petits cris brûlants
Le jour va se lever
Sous des gouttes de sang
Y a le soleil aussi
Qui brûle et vient chanter
Un amour sans folie
Qui ne veut plus chanter
Pendant ce temps, tu bois
Ton café au lait, presse-toi!
Moi, je dors encore
En rêvant à la Grèce