Les paroles de la chanson
« La grande ourse »
Pierre Perret
Elle nageait vaillamment depuis la plage
Vers mon bateau ancré sur les grands fonds
Ses yeux étaient couleur de mer sauvage
Et son corps était nu comme un poisson
Montez à bord dis-je de la " grande ourse "
C’est mon bateau qui porte ce beau nom
Et s’il ne vous plaît pas je vous rembourse
Moi je suis là pour vous elle me répond
Elle vint à moi comme une algue mouillée
Elle offrit à mes yeux un arc-en-ciel
Tant de beauté par les dieux façonnés
Fait parfois monter des sanglots cruels
Elle sauta à pieds joints dans la " grande ourse "
Et nous conduisit droit en paradis
Dix mille baisers furent le prix de la course
Payés comptant sous le ciel de mon lit
Elle fut à moi comme une source vive
M’éclaboussant d’un aveuglant soleil
Hardie à l’attaque et prompte à l’esquive
Tantôt verjus de grappe et tantôt miel
Je ne crains pas le flux des eaux traîtresses
Les trains de nuit qui filent dans le vent
Ni la lave en fusion qui vous caresse
Ils m’ont rendu le cœur bien trop content
Elle nageait vaillamment depuis la plage
Vers mon bateau ancré sur les grands fonds
Ses yeux étaient couleur de mer sauvage
Et son corps était nu comme un poisson
Vers mon bateau ancré sur les grands fonds
Ses yeux étaient couleur de mer sauvage
Et son corps était nu comme un poisson
Montez à bord dis-je de la " grande ourse "
C’est mon bateau qui porte ce beau nom
Et s’il ne vous plaît pas je vous rembourse
Moi je suis là pour vous elle me répond
Elle vint à moi comme une algue mouillée
Elle offrit à mes yeux un arc-en-ciel
Tant de beauté par les dieux façonnés
Fait parfois monter des sanglots cruels
Elle sauta à pieds joints dans la " grande ourse "
Et nous conduisit droit en paradis
Dix mille baisers furent le prix de la course
Payés comptant sous le ciel de mon lit
Elle fut à moi comme une source vive
M’éclaboussant d’un aveuglant soleil
Hardie à l’attaque et prompte à l’esquive
Tantôt verjus de grappe et tantôt miel
Je ne crains pas le flux des eaux traîtresses
Les trains de nuit qui filent dans le vent
Ni la lave en fusion qui vous caresse
Ils m’ont rendu le cœur bien trop content
Elle nageait vaillamment depuis la plage
Vers mon bateau ancré sur les grands fonds
Ses yeux étaient couleur de mer sauvage
Et son corps était nu comme un poisson