Les paroles de la chanson
« La grande cité »
Yves Montand
Je suis né dans la cité
Qui enfante les usines
Là où les hommes turbinent
Toute une vie sans s’arrêter
Avec leurs hautes cheminées
Qui s’élancent vers le ciel
Comme pour cracher leur fumée
En des nuages artificiels
Et dans le bruit des sirènes
Des hommes vont, des hommes viennent
C’est la grand ville qui rugit
C’est la grand ville qui surgit
{Refrain:}
Comme c’est drôle
Ces gens qui marchent dans la rue,
Comme c’est drôle
Ces gens perdus dans la cohue,
La sérénade des fauchés
Monte comme une mélopée
La sérénade des gens bien
Et puis de ceux qui n’sont pas bien
Et moi, je les regarde vivre
Et j’trouve ça drôle
[partie figurant dans certains livrets, mais pas chantée systématiquement]
[début]
Juste au bout de la cité
On ne voit plus les usines
On ne voit que la fumée
Des bateaux et leurs machines,
Il y a la grue géante
Qui, des quais jusqu’aux bateaux,
S’amuse à cracher dans l’eau
On dirait une drôle de fête
Où se promène la tempête
Et le bon Dieu qui est là-haut
Doit trouver ça rigolo
{au Refrain}
[fin]
Mais il y a dans la cité
Une fille à la peau douce
A la va comme je te pousse
Une fille toujours mal peignée
Elle a sa robe déchirée
Mais j’ai trouvé dans ses yeux
Un bout d’ciel qui s’est égaré
Qui n’appartient qu’à nous deux
Je ne vois plus les usines
Je n’entends plus les machines
Qui donc se dresse sur la cité?
C’est l’amour et sa liberté
Comme c’est drôle
Un coeur qui marche dans la rue,
Comme c’est drôle
Un coeur perdu dans la cohue,
La sérénade de l’amour
La sérénade des toujours
Monte, monte sur la cité
Pour lui chanter sa mélopée
Et moi, je suis là pour la suivre
Et j’trouve ça drôle
Qui enfante les usines
Là où les hommes turbinent
Toute une vie sans s’arrêter
Avec leurs hautes cheminées
Qui s’élancent vers le ciel
Comme pour cracher leur fumée
En des nuages artificiels
Et dans le bruit des sirènes
Des hommes vont, des hommes viennent
C’est la grand ville qui rugit
C’est la grand ville qui surgit
{Refrain:}
Comme c’est drôle
Ces gens qui marchent dans la rue,
Comme c’est drôle
Ces gens perdus dans la cohue,
La sérénade des fauchés
Monte comme une mélopée
La sérénade des gens bien
Et puis de ceux qui n’sont pas bien
Et moi, je les regarde vivre
Et j’trouve ça drôle
[partie figurant dans certains livrets, mais pas chantée systématiquement]
[début]
Juste au bout de la cité
On ne voit plus les usines
On ne voit que la fumée
Des bateaux et leurs machines,
Il y a la grue géante
Qui, des quais jusqu’aux bateaux,
S’amuse à cracher dans l’eau
On dirait une drôle de fête
Où se promène la tempête
Et le bon Dieu qui est là-haut
Doit trouver ça rigolo
{au Refrain}
[fin]
Mais il y a dans la cité
Une fille à la peau douce
A la va comme je te pousse
Une fille toujours mal peignée
Elle a sa robe déchirée
Mais j’ai trouvé dans ses yeux
Un bout d’ciel qui s’est égaré
Qui n’appartient qu’à nous deux
Je ne vois plus les usines
Je n’entends plus les machines
Qui donc se dresse sur la cité?
C’est l’amour et sa liberté
Comme c’est drôle
Un coeur qui marche dans la rue,
Comme c’est drôle
Un coeur perdu dans la cohue,
La sérénade de l’amour
La sérénade des toujours
Monte, monte sur la cité
Pour lui chanter sa mélopée
Et moi, je suis là pour la suivre
Et j’trouve ça drôle