Les paroles de la chanson
« La gavroche »
Jacques Hustin
Elle s’en va, la gavroche,
Elle s’encourt en galoches
Et se balance aux quatre vents.
Elle tourne, elle chancelle,
Elle joue à la marelle
Danse et s’en repart en chantant.
Comme la gavroche,
Les mains dans les poches,
Sans retour, le temps s’en va.
Le jour s’effiloche
Quand le soir approche
Et notre amour s’enfuit déjà.
Je me souviens des ruelles
Des lampions, des ritournelles
Dans la barbarie du printemps.
Je me souviens des étoiles
Qui nous éclaboussaient l’âme
Dans un carrousel éclatant.
Comme la gavroche,
Les mains dans les poches,
Sans retour, le temps s’en va
Les folles marelles,
D’autres demoiselles,
Mon amour, je n’en veux pas.
Comme s’en vont les dimanches
Et passent les robes blanches,
Nos souvenirs se font la malle.
Nos amours perdent la tête
Dans un vertige musette
Et l’oubli clôture le bal.
Comme la gavroche,
Les mains dans les poches,
Sans retour, le temps s’en va.
Le jour s’effiloche,
Quand le soir approche
Et notre amour n’est plus déjà.
Elle s’encourt en galoches
Et se balance aux quatre vents.
Elle tourne, elle chancelle,
Elle joue à la marelle
Danse et s’en repart en chantant.
Comme la gavroche,
Les mains dans les poches,
Sans retour, le temps s’en va.
Le jour s’effiloche
Quand le soir approche
Et notre amour s’enfuit déjà.
Je me souviens des ruelles
Des lampions, des ritournelles
Dans la barbarie du printemps.
Je me souviens des étoiles
Qui nous éclaboussaient l’âme
Dans un carrousel éclatant.
Comme la gavroche,
Les mains dans les poches,
Sans retour, le temps s’en va
Les folles marelles,
D’autres demoiselles,
Mon amour, je n’en veux pas.
Comme s’en vont les dimanches
Et passent les robes blanches,
Nos souvenirs se font la malle.
Nos amours perdent la tête
Dans un vertige musette
Et l’oubli clôture le bal.
Comme la gavroche,
Les mains dans les poches,
Sans retour, le temps s’en va.
Le jour s’effiloche,
Quand le soir approche
Et notre amour n’est plus déjà.