Les paroles de la chanson
« La garonne »
Nicole Croisille
Les villages s’appellent Sauternes,
Saint-Estève, ou Saint-émilion.
Les pierres sont belles, et la lumière est bonne,
Entre les vignes, et la braconne.
Toute une enfance à l’ombre de la maison de mon grand-père,
J’étais si jeune, et je regardais la Garonne,
Et je ne pensais à personne quand je rêvais à l’homme,
A qui plus tard ma vie de femme serait liée.
{Refrain:}
Comme, comme la Garonne, qui roule et sonne,
Comme un accent, j’ai la passion d’être amoureuse,
De tout mon coeur de tout mon sang, oh oh oh,
Comme, comme la Garonne, qui s’élargit vers l’océan,
Qui tourbillonne et s’abandonne,
J’ai toujours su que je l’aurais, ce grand amour.
La forêt et l’océan au bout,
La terre nue, les grands pins fourbus
La vie qui m’a roulée comme elle pouvait,
Mais pas vraiment comme je voulais.
Et un après-midi un de ces orages soudain,
Et qui vous jette la folie en tête, sur la peau,
D’un homme un peu poète, mais qui après tout n’est qu’un homme,
J’ai tellement d’amour tout à coup,
Je te le donne.
{au Refrain, x2}
Comme, la Garonne, roule et sonne, tourbillonne,
S’abandonne, et rayonne,
Je savais,
Je l’aurais,
Cet amour.
Saint-Estève, ou Saint-émilion.
Les pierres sont belles, et la lumière est bonne,
Entre les vignes, et la braconne.
Toute une enfance à l’ombre de la maison de mon grand-père,
J’étais si jeune, et je regardais la Garonne,
Et je ne pensais à personne quand je rêvais à l’homme,
A qui plus tard ma vie de femme serait liée.
{Refrain:}
Comme, comme la Garonne, qui roule et sonne,
Comme un accent, j’ai la passion d’être amoureuse,
De tout mon coeur de tout mon sang, oh oh oh,
Comme, comme la Garonne, qui s’élargit vers l’océan,
Qui tourbillonne et s’abandonne,
J’ai toujours su que je l’aurais, ce grand amour.
La forêt et l’océan au bout,
La terre nue, les grands pins fourbus
La vie qui m’a roulée comme elle pouvait,
Mais pas vraiment comme je voulais.
Et un après-midi un de ces orages soudain,
Et qui vous jette la folie en tête, sur la peau,
D’un homme un peu poète, mais qui après tout n’est qu’un homme,
J’ai tellement d’amour tout à coup,
Je te le donne.
{au Refrain, x2}
Comme, la Garonne, roule et sonne, tourbillonne,
S’abandonne, et rayonne,
Je savais,
Je l’aurais,
Cet amour.