Les paroles de la chanson
« La galante isabelle »
Tohama
Ma lointaine aïeule autrefois
Avait été l’amie d’un roi
C’était un titre de noblesse
A dix-sept ans, un beau marquis
L’épousa, retour de Turquie
Et la combla de ses richesses
Mais dédaignant les plaisirs de la cour
La jeune Isabelle ne pensait qu’à l’amour
La galante Isabelle
N’était pas un modèle
Pour ce qui est de la vertu
Si l’on croit la chronique
De ses exploits uniques
Ses amours ne se comptaient plus
La galante Isabelle
L’histoire nous le révèle
Avait même séduit le roi
Mais la cour de Louis XV
En comptait plus de quinze
Dont elle entretenait l’émoi
Et de tout côté, l’on chuchotait
Isabelle, Isabelle
Aussitôt, un écho répondait
L’infidèle, l’infidèle!
Puis la belle volage
Bientôt s’éprit d’un page
Pour ses yeux d’un bleu de velours
Être l’amie d’un page
C’était bien de son âge
Mais cela fit jaser la cour
La galante Isabelle
Lui fut longtemps fidèle
Mais il périt dans un combat
Il avait tant de charme
Qu’elle eut beaucoup de larmes
Et jamais ne s’en consola
La belle vagabonde
Enfin lassée du monde
Ne parut plus subitement
La cour, s’inquiétant d’elle,
Sut bientôt la nouvelle :
Isabelle est dans un couvent
Et de tout côté, l’on chuchotait
Isabelle, Isabelle
Aussitôt, un écho répondait
Ah oui! L’infidèle, l’infidèle!
Mais la sœur Isabelle
Fut bien la plus fidèle
Aux vœux qu’elle avait prononcés
Sa vie jadis légère
Fut, dit-on, exemplaire
Et la cour cessa de jaser
Il lui fut beaucoup pardonné
Car elle avait beaucoup aimé
Avait été l’amie d’un roi
C’était un titre de noblesse
A dix-sept ans, un beau marquis
L’épousa, retour de Turquie
Et la combla de ses richesses
Mais dédaignant les plaisirs de la cour
La jeune Isabelle ne pensait qu’à l’amour
La galante Isabelle
N’était pas un modèle
Pour ce qui est de la vertu
Si l’on croit la chronique
De ses exploits uniques
Ses amours ne se comptaient plus
La galante Isabelle
L’histoire nous le révèle
Avait même séduit le roi
Mais la cour de Louis XV
En comptait plus de quinze
Dont elle entretenait l’émoi
Et de tout côté, l’on chuchotait
Isabelle, Isabelle
Aussitôt, un écho répondait
L’infidèle, l’infidèle!
Puis la belle volage
Bientôt s’éprit d’un page
Pour ses yeux d’un bleu de velours
Être l’amie d’un page
C’était bien de son âge
Mais cela fit jaser la cour
La galante Isabelle
Lui fut longtemps fidèle
Mais il périt dans un combat
Il avait tant de charme
Qu’elle eut beaucoup de larmes
Et jamais ne s’en consola
La belle vagabonde
Enfin lassée du monde
Ne parut plus subitement
La cour, s’inquiétant d’elle,
Sut bientôt la nouvelle :
Isabelle est dans un couvent
Et de tout côté, l’on chuchotait
Isabelle, Isabelle
Aussitôt, un écho répondait
Ah oui! L’infidèle, l’infidèle!
Mais la sœur Isabelle
Fut bien la plus fidèle
Aux vœux qu’elle avait prononcés
Sa vie jadis légère
Fut, dit-on, exemplaire
Et la cour cessa de jaser
Il lui fut beaucoup pardonné
Car elle avait beaucoup aimé