Les paroles de la chanson
« La fortune »
Jacques Douai
Si tous les crayons
Que l’on vend à Paris
Écrivaient des chansons
Comme Monsieur Lully
Et si toutes les plumes
Avaient Verlaine au bec
Et chacun sa chacune
On ne vivrait plus qu’avec
La fortune
Quelques tunes
Deux bouquets, trois chansons et la lune
Si tu rêves
Ta vie brève
Passera comme passent les rêves.
La fortune
Quelques tunes
Et de quoi s’en aller dans la lune
Si tout passe
Si tout casse
Si tout lasse
Passe passe.
Si tous les vauriens
Qui ne valent rien à Paris
Ne valaient qu’un refrain
De Villon ou de qui
Et si toutes les épines
Avaient la rose avec
Et chacun sa chacune
On ne vivrait plus qu’avec
La fortune
Quelques tunes
Deux saluts trois au revoir et la lune
Si tu chantes
Ta vie lente
Filera comme une étoile filante
La fortune
Quelques tunes
Et de quoi faire briller cette lune
Cette lune
Où s’allume
Et consume
L’infortune.
La, la la...
Cette lune
Où s’allume
Et consume
L’infortune.
Que l’on vend à Paris
Écrivaient des chansons
Comme Monsieur Lully
Et si toutes les plumes
Avaient Verlaine au bec
Et chacun sa chacune
On ne vivrait plus qu’avec
La fortune
Quelques tunes
Deux bouquets, trois chansons et la lune
Si tu rêves
Ta vie brève
Passera comme passent les rêves.
La fortune
Quelques tunes
Et de quoi s’en aller dans la lune
Si tout passe
Si tout casse
Si tout lasse
Passe passe.
Si tous les vauriens
Qui ne valent rien à Paris
Ne valaient qu’un refrain
De Villon ou de qui
Et si toutes les épines
Avaient la rose avec
Et chacun sa chacune
On ne vivrait plus qu’avec
La fortune
Quelques tunes
Deux saluts trois au revoir et la lune
Si tu chantes
Ta vie lente
Filera comme une étoile filante
La fortune
Quelques tunes
Et de quoi faire briller cette lune
Cette lune
Où s’allume
Et consume
L’infortune.
La, la la...
Cette lune
Où s’allume
Et consume
L’infortune.