Les paroles de la chanson
« La foire »
Jacques Brel
{Refrain:}
J’aime la foire où pour trois sous
L’on peut se faire tourner la tête
Sur les manèges aux chevaux roux
Au son d’une musique bête
Les lampions jettent au firmament
Alignés en nombres pairs
Comme des sourcils de géant
Leurs crachats de lumières
(x 2)
Les moulins tournent, tournent sans trêve
Emportant tout notre argent
Et nous donnant un peu de rêve
Pour que les hommes soient contents
{au Refrain}
Ça sent la graisse où dansent les frites
Ça sent les frites dans les papiers
Ça sent les beignets qu’on mange vite
Ça sent les hommes qui les ont mangés
(x2)
Partout je vois à petits pas
Des couples qui s’en vont danser
Mais moi sûrement je n’irai pas
Grand-mère m’a dit de me méfier
{au Refrain}
Et lorsque l’on n’a plus de sous
Pour se faire tourner la tête
Sur les manèges aux chevaux roux
Au son d’une musique bête
(x2)
On rentre chez soi lentement
Et tout en regardant les cieux
On se demande simplement
S’il n’existe rien de mieux
J’aimais la foire où pour trois sous
L’on pouvait s’faire tourner la tête
Sur les manèges aux chevaux roux
Au son d’une musique bête
La la la
J’aime la foire où pour trois sous
L’on peut se faire tourner la tête
Sur les manèges aux chevaux roux
Au son d’une musique bête
Les lampions jettent au firmament
Alignés en nombres pairs
Comme des sourcils de géant
Leurs crachats de lumières
(x 2)
Les moulins tournent, tournent sans trêve
Emportant tout notre argent
Et nous donnant un peu de rêve
Pour que les hommes soient contents
{au Refrain}
Ça sent la graisse où dansent les frites
Ça sent les frites dans les papiers
Ça sent les beignets qu’on mange vite
Ça sent les hommes qui les ont mangés
(x2)
Partout je vois à petits pas
Des couples qui s’en vont danser
Mais moi sûrement je n’irai pas
Grand-mère m’a dit de me méfier
{au Refrain}
Et lorsque l’on n’a plus de sous
Pour se faire tourner la tête
Sur les manèges aux chevaux roux
Au son d’une musique bête
(x2)
On rentre chez soi lentement
Et tout en regardant les cieux
On se demande simplement
S’il n’existe rien de mieux
J’aimais la foire où pour trois sous
L’on pouvait s’faire tourner la tête
Sur les manèges aux chevaux roux
Au son d’une musique bête
La la la