Les paroles de la chanson
« La flanelle de grand-père »
Pierre Louki
La flanelle de grand-père
Qui jamais ne le quitta
Par la paix et par la guerre
Dans son pantalon resta
La flanelle de grand-père
Auréole d’un bedon
Quelques mètres de mystère
Quelques grammes de coton
Ô flanelle de grand-père
Reine de l’obscurité
Thérapeute légendaire
En toute simplicité
La flanelle de grand-père
Traitement cent fois primé
"Médicamentation" chère
Aux amis du comprimé
La flanelle de grand-père
Quelques tours et puis s’en vont
S’en vont, s’en vont les misères
Les lumbagos, les torsions
Ô flanelle de grand-père
Serpentin du bal des jours
Ensorceleuse filière
Qui conduisait à l’amour
La flanelle de grand-père
Place forte pour l’effort
Place faible quand grand-père
Venait à perdre le nord
la flanelle de grand-père
Mystérieux corridor
Où se réfugiait grand-mère
Quand il faisait froid dehors
Ô flanelle de grand-père
Souvenirs éparpillés
Tu suivais pour te distraire
Le chemin des écoliers
La flanelle de grand-père
Au fond de l’armoire, seule
Elle qui chantait naguère
Est muette comme un linceul
La flanelle de grand-père
Grands exploits ou petits riens
Reflets d’une vie entière
Imprimée au creux des reins
Ô flanelle de grand-père
Serpentin du bal des jours
Sans grand-père, sans grand-mère
Fini le roman d’amour
Qui jamais ne le quitta
Par la paix et par la guerre
Dans son pantalon resta
La flanelle de grand-père
Auréole d’un bedon
Quelques mètres de mystère
Quelques grammes de coton
Ô flanelle de grand-père
Reine de l’obscurité
Thérapeute légendaire
En toute simplicité
La flanelle de grand-père
Traitement cent fois primé
"Médicamentation" chère
Aux amis du comprimé
La flanelle de grand-père
Quelques tours et puis s’en vont
S’en vont, s’en vont les misères
Les lumbagos, les torsions
Ô flanelle de grand-père
Serpentin du bal des jours
Ensorceleuse filière
Qui conduisait à l’amour
La flanelle de grand-père
Place forte pour l’effort
Place faible quand grand-père
Venait à perdre le nord
la flanelle de grand-père
Mystérieux corridor
Où se réfugiait grand-mère
Quand il faisait froid dehors
Ô flanelle de grand-père
Souvenirs éparpillés
Tu suivais pour te distraire
Le chemin des écoliers
La flanelle de grand-père
Au fond de l’armoire, seule
Elle qui chantait naguère
Est muette comme un linceul
La flanelle de grand-père
Grands exploits ou petits riens
Reflets d’une vie entière
Imprimée au creux des reins
Ô flanelle de grand-père
Serpentin du bal des jours
Sans grand-père, sans grand-mère
Fini le roman d’amour