Les paroles de la chanson
« La fille du tonnelier »
Lina Margy
Dans un petit village
Au vert treillage
Travaille un joyeux tonnelier
Tout près de l’épicier
Il chante des romances
Chansons de France
Et si l’on vient chez lui, le soir
Je crois que c’est pour voir
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, une fille à marier
Mais la belle, cruelle,
A ses fidèles
Qui couraient lui faire la cour
De cent lieues alentour
Au bal, chacun l’invite
Mais lui, ah, l’évite
Laissant à tous ses cavaliers
Venus la supplier
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, une fille à marier
Un soir, sous la charmille,
Une autre fille
Apaisa bientôt son chagrin
Et, dès le lendemain
Chantaient dans les broussailles
Leurs fiançailles
Et le jour où ils se mariaient
Devinez qui pleurait
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, une fille à marier
Mais le temps passe et change
Passent les anges
Sa femme a vieilli, brusquement,
On dirait sa maman
Une blanche cornette
S’en va, seulette
Ce matin, j’ai vu tristement
Retourner au couvent
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, fidèle pour prier
Ainsi finit l’histoire
Il faut m’en croire
De la fille du tonnelier
Qu’on ne doit oublier
Ne soyez pas coquettes
Sachez, fillettes,
Qu’il vaut mieux prendre un fiancé
Plutôt que d’imiter
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille qui n’a pu se marier
Au vert treillage
Travaille un joyeux tonnelier
Tout près de l’épicier
Il chante des romances
Chansons de France
Et si l’on vient chez lui, le soir
Je crois que c’est pour voir
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, une fille à marier
Mais la belle, cruelle,
A ses fidèles
Qui couraient lui faire la cour
De cent lieues alentour
Au bal, chacun l’invite
Mais lui, ah, l’évite
Laissant à tous ses cavaliers
Venus la supplier
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, une fille à marier
Un soir, sous la charmille,
Une autre fille
Apaisa bientôt son chagrin
Et, dès le lendemain
Chantaient dans les broussailles
Leurs fiançailles
Et le jour où ils se mariaient
Devinez qui pleurait
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, une fille à marier
Mais le temps passe et change
Passent les anges
Sa femme a vieilli, brusquement,
On dirait sa maman
Une blanche cornette
S’en va, seulette
Ce matin, j’ai vu tristement
Retourner au couvent
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille, fidèle pour prier
Ainsi finit l’histoire
Il faut m’en croire
De la fille du tonnelier
Qu’on ne doit oublier
Ne soyez pas coquettes
Sachez, fillettes,
Qu’il vaut mieux prendre un fiancé
Plutôt que d’imiter
La fille, la fille du joyeux tonnelier
La fille, la fille qui n’a pu se marier