Les paroles de la chanson
« La femme que j'aimais »
Adrien Lamy
Passant parfois devant un miroir
Il m’arrive de m’apercevoir
Ce n’est pas joli ce que j’y vois
Hélas, c’est moi!
Aussi piteux – Ah, quelle aberration!
D’avoir cru faire une vraie passion
Je ne suis pas beau
J’ai tout d’ Charlot
La femme que j’aimais, qui me charmait
J’ai cru qu’elle existait et je comptais
Qu’à moi seul je l’aurais
Mais, hélas, ce n’était pas vrai
À ce rêve charmeur et bien trompeur
J’avais commis l’erreur, pour mon malheur
D’y croire avec ardeur
Et je viens d’y laisser mon cœur
Pourtant le baiser
Que sur ses lèvres j’avais cru poser
En fermant les yeux
J’en sens encore le goût délicieux, merveilleux
La femme que j’aimais, que j’adorais
J’ai cru qu’elle vivait, que je l’avais
Mais, hélas, ce n’était
Qu’un rêve d’amour qui passait
Il m’arrive de m’apercevoir
Ce n’est pas joli ce que j’y vois
Hélas, c’est moi!
Aussi piteux – Ah, quelle aberration!
D’avoir cru faire une vraie passion
Je ne suis pas beau
J’ai tout d’ Charlot
La femme que j’aimais, qui me charmait
J’ai cru qu’elle existait et je comptais
Qu’à moi seul je l’aurais
Mais, hélas, ce n’était pas vrai
À ce rêve charmeur et bien trompeur
J’avais commis l’erreur, pour mon malheur
D’y croire avec ardeur
Et je viens d’y laisser mon cœur
Pourtant le baiser
Que sur ses lèvres j’avais cru poser
En fermant les yeux
J’en sens encore le goût délicieux, merveilleux
La femme que j’aimais, que j’adorais
J’ai cru qu’elle vivait, que je l’avais
Mais, hélas, ce n’était
Qu’un rêve d’amour qui passait