Les paroles de la chanson
« La femme du sergent »
Pierre Vassiliu
Y avait la femme d’un militaire qui faisait collection d’képis
Y avait des blancs, des rouges, des verts, c’en était de biens beaux bibis
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais deux hommes à moi
L’un tenant la bannière l’autre me tenant moi
Pour recevoir ses p’tits amis elle cachait tous ses képis
mettait une robe de chambre kaki et se couchait en chien d’fusil
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais trois femmes à moi
On n’ faisait pas d’manière une fois j’te vois ou j’te vois pas
Elle répétait les mots d’amour que son mari lui avait appris
c’est pour ça qu’elle disait toujours "feu à volonté toute la nuit"
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais cent hommes à moi
Le flingue en bandoulière on s’cachait dans les bois
Un soir d’ivresse elle mourut sous un petit vieillard maniaque
Un général plutôt fourbu lui tomba d’ssus de son hamac
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais mille cons à moi
on marchait à la bière c’était dur croyez-moi!
Y avait des blancs, des rouges, des verts, c’en était de biens beaux bibis
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais deux hommes à moi
L’un tenant la bannière l’autre me tenant moi
Pour recevoir ses p’tits amis elle cachait tous ses képis
mettait une robe de chambre kaki et se couchait en chien d’fusil
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais trois femmes à moi
On n’ faisait pas d’manière une fois j’te vois ou j’te vois pas
Elle répétait les mots d’amour que son mari lui avait appris
c’est pour ça qu’elle disait toujours "feu à volonté toute la nuit"
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais cent hommes à moi
Le flingue en bandoulière on s’cachait dans les bois
Un soir d’ivresse elle mourut sous un petit vieillard maniaque
Un général plutôt fourbu lui tomba d’ssus de son hamac
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n’était pas là
Lui dépensait sa solde à boire faut dire que c’était son métier
Aussi le soir fallait le voir parler d’ l ’ Indo et d’ la Corée
J’étais dans les rizières j’avais mille cons à moi
on marchait à la bière c’était dur croyez-moi!