Les paroles de la chanson
« La femme à la rose »
Louis Lynel
Don Juan mettait par son sourire
Le cœur des femmes en émoi
Le cœur de l’homme est mon empire
La femme à la rose, c’est moi!
Chaque nuit, dans l’ombre fleurie
Je cherche de nouveaux amants
Et ma sérénade en folie
Leur soupire passionnément
{Refrain:}
Voici mon cœur. Qui veut m’aimer?
Voici mes bras pour s’y pâmer
Voici mes lèvres. Voici mes yeux
Je vous les donne... Soyez heureux
Voici la fleur de volupté
Goûtez ce soir à sa beauté
Car demain, vous la verrez s’enfuir
Même si vous devez en mourir
Don Juan portait la fleur charmante
A son chapeau, négligemment
Mais moi, de mes deux mains ardentes
Je l’effeuille amoureusement
Chaque pétale qui s’égrène
C’est un homme qui meurt pour moi
Qu’importe à la fleur souveraine?
Je la donne à tous : c’est ma loi
{au Refrain}
Mais la revanche vient sans doute
Car je pressens avec terreur
Qu’un homme, passant sur ma route
Un soir, enchaînera mon cœur
Et qu’insensible à tous mes charmes
Celui-là me repoussera
A ses genoux, avec des larmes
C’est en vain que ma voix criera
Voici mon cœur. Qui veut m’aimer?
Voici mes bras pour s’y pâmer
Mais il chassera plein de mépris
La rose qui se tendra vers lui
Alors la fleur de volupté
S’effeuillant pour l’éternité
Dernier pétale... dernier soupir...
A son tour n’aura plus qu’à mourir
Le cœur des femmes en émoi
Le cœur de l’homme est mon empire
La femme à la rose, c’est moi!
Chaque nuit, dans l’ombre fleurie
Je cherche de nouveaux amants
Et ma sérénade en folie
Leur soupire passionnément
{Refrain:}
Voici mon cœur. Qui veut m’aimer?
Voici mes bras pour s’y pâmer
Voici mes lèvres. Voici mes yeux
Je vous les donne... Soyez heureux
Voici la fleur de volupté
Goûtez ce soir à sa beauté
Car demain, vous la verrez s’enfuir
Même si vous devez en mourir
Don Juan portait la fleur charmante
A son chapeau, négligemment
Mais moi, de mes deux mains ardentes
Je l’effeuille amoureusement
Chaque pétale qui s’égrène
C’est un homme qui meurt pour moi
Qu’importe à la fleur souveraine?
Je la donne à tous : c’est ma loi
{au Refrain}
Mais la revanche vient sans doute
Car je pressens avec terreur
Qu’un homme, passant sur ma route
Un soir, enchaînera mon cœur
Et qu’insensible à tous mes charmes
Celui-là me repoussera
A ses genoux, avec des larmes
C’est en vain que ma voix criera
Voici mon cœur. Qui veut m’aimer?
Voici mes bras pour s’y pâmer
Mais il chassera plein de mépris
La rose qui se tendra vers lui
Alors la fleur de volupté
S’effeuillant pour l’éternité
Dernier pétale... dernier soupir...
A son tour n’aura plus qu’à mourir