Les paroles de la chanson
« La différence »
Lara Fabian
La différence
Celle qui dérange
Une préférence, un état d’âme
Une circonstance
Un corps à corps en désaccord
Avec les gens trop bien pensants,
Les mœurs d’abord
Leur peau ne s’étonnera jamais des différences
Elles se ressemblent
Se touchent
Comme ces deux hommes qui dansent
Sans jamais parler sans jamais crier
Ils s’aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez
Comme ils se foutent de nos injures
Ils préfèrent l’amour, surtout le vrai
À nos murmures
Ils parlent souvent des autres gens
Qui s’aiment si fort
Qui s’aiment comme on dit "normalement"
De cet enfant tellement absent
De ce mal du sang qui court
Et tue si librement
Leurs yeux ne s’éloigneront jamais par négligence
Ils se reconnaissent, s’apprivoisent
Comme ces deux femmes qui dansent
Sans jamais parler sans jamais crier
Elles s’aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Elles se font confiance
Si vous saviez
Comme elles se foutent de nos injures
Elles préfèrent l’amour, surtout le vrai
À nos murmures
De Verlaine à Rimbaud quand on y pense
On tolère l’exceptionnelle différence
Sans jamais parler sans jamais crier
Ils s’aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez
Comme ils se foutent de nos injures
Ils préfèrent l’amour, surtout le vrai
À nos murmures
Celle qui dérange
Une préférence, un état d’âme
Une circonstance
Un corps à corps en désaccord
Avec les gens trop bien pensants,
Les mœurs d’abord
Leur peau ne s’étonnera jamais des différences
Elles se ressemblent
Se touchent
Comme ces deux hommes qui dansent
Sans jamais parler sans jamais crier
Ils s’aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez
Comme ils se foutent de nos injures
Ils préfèrent l’amour, surtout le vrai
À nos murmures
Ils parlent souvent des autres gens
Qui s’aiment si fort
Qui s’aiment comme on dit "normalement"
De cet enfant tellement absent
De ce mal du sang qui court
Et tue si librement
Leurs yeux ne s’éloigneront jamais par négligence
Ils se reconnaissent, s’apprivoisent
Comme ces deux femmes qui dansent
Sans jamais parler sans jamais crier
Elles s’aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Elles se font confiance
Si vous saviez
Comme elles se foutent de nos injures
Elles préfèrent l’amour, surtout le vrai
À nos murmures
De Verlaine à Rimbaud quand on y pense
On tolère l’exceptionnelle différence
Sans jamais parler sans jamais crier
Ils s’aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez
Comme ils se foutent de nos injures
Ils préfèrent l’amour, surtout le vrai
À nos murmures