Les paroles de la chanson
« La dernière bergère »
Jean Sablon
Dans un tout petit pays perdu
L’an passé, j’ai vu la dernière
Des bergères
Dix-huit ans et un prix de vertu
C’était la fille la plus sage
Du village
Elle filait la quenouille
En gardant ses moutons
Elle avait des bas de coton
Et se moquait bien des garçons
Penauds et bredouilles
Et ma bergère était fraîche
Elle ignorait les fards
Elle n’empruntait rien à l’art
Et son charme était campagnard
Et doux comme une pêche
Une pêche
J’en devins tellement amoureux
Que j’allais dire mon envie
À ma mie
Je lui offris mon cœur généreux
Ma maison, toute ma fortune
Et la Lune
Et le front dans la poussière
Je lui dis mon amour
Et des serments, et des toujours
Quantité de mots en "our"
Qu’aiment tant les bergères
Quand j’eus bien fait l’imbécile
Elle dit gentiment
"Je n’ai pas besoin d’un amant
Car j’ai pour ça mes moutons blancs
Ils sont plus dociles
Plus dociles"
L’an passé, j’ai vu la dernière
Des bergères
Dix-huit ans et un prix de vertu
C’était la fille la plus sage
Du village
Elle filait la quenouille
En gardant ses moutons
Elle avait des bas de coton
Et se moquait bien des garçons
Penauds et bredouilles
Et ma bergère était fraîche
Elle ignorait les fards
Elle n’empruntait rien à l’art
Et son charme était campagnard
Et doux comme une pêche
Une pêche
J’en devins tellement amoureux
Que j’allais dire mon envie
À ma mie
Je lui offris mon cœur généreux
Ma maison, toute ma fortune
Et la Lune
Et le front dans la poussière
Je lui dis mon amour
Et des serments, et des toujours
Quantité de mots en "our"
Qu’aiment tant les bergères
Quand j’eus bien fait l’imbécile
Elle dit gentiment
"Je n’ai pas besoin d’un amant
Car j’ai pour ça mes moutons blancs
Ils sont plus dociles
Plus dociles"