Les paroles de la chanson
« La complainte du coureur de bois »
Malicorne
Ecoutez, tous mes bons amis, vous qui vivez bien à votre aise
Je vais vous chanter le récit de toutes les grandes misères
Qu’on peut avoir dans les chantiers à travailler, à s’ennuyer
Dans une forêt si sévère, surtout dans le temps de l’hiver
Quand faut partir pour les chantiers, il nous faut tous quitter nos femmes
Nous faut quitter pareillement ce qui nous coûte le plus cher
Nos femmes et nos petits enfants, rester terrés comme des loups
Dans une forêt si sévère, surtout dans le temps de l’hiver
C’est par un dimanche au matin, au début de l’année nouvelle
J’étais couché sur les sapins, chantant pour dissiper mes peines
En composant cette chanson, c’est en pensant à ma maison
Et c’est en pensant à ma belle, surtout dans le temps de l’hiver
Ici, ils nous font travailler tous les six jours de la semaine
Le jour de l’an pareillement ainsi que tous les jours de fête
Qu’il vente, pleuve ou bien qu’il neige même s’il fait les quatre temps
La misère est notre salaire, surtout dans le temps de l’hiver
Je vais vous chanter le récit de toutes les grandes misères
Qu’on peut avoir dans les chantiers à travailler, à s’ennuyer
Dans une forêt si sévère, surtout dans le temps de l’hiver
Quand faut partir pour les chantiers, il nous faut tous quitter nos femmes
Nous faut quitter pareillement ce qui nous coûte le plus cher
Nos femmes et nos petits enfants, rester terrés comme des loups
Dans une forêt si sévère, surtout dans le temps de l’hiver
C’est par un dimanche au matin, au début de l’année nouvelle
J’étais couché sur les sapins, chantant pour dissiper mes peines
En composant cette chanson, c’est en pensant à ma maison
Et c’est en pensant à ma belle, surtout dans le temps de l’hiver
Ici, ils nous font travailler tous les six jours de la semaine
Le jour de l’an pareillement ainsi que tous les jours de fête
Qu’il vente, pleuve ou bien qu’il neige même s’il fait les quatre temps
La misère est notre salaire, surtout dans le temps de l’hiver