Les paroles de la chanson
« La chanteuse de bal »
Liane Foly
Démonter la sono, le poids des guitares et du piano,
Les galères et les bières, elle sait faire.
Rock and roll ou musette, farandoles, tango, Tina Turner,
Piaf ou rap, ou Sardou. Elle fait tout.
Salles de bal ou gymnases,
Salles des fêtes ou maisons communales,
Clubs de jazz ou guinguettes,
Elle achète.
Se changer, s’maquiller,
Dans des toilettes ou derrière un bar,
Enfumé, pour chanter,
Faut y croire.
Mais quand c’est à son tour, quand elle prend la lumière,
Quand sa voix couvre toutes les voix,
Elle oublie tout autour, en fermant les paupières,
Elle ne vit que pour ces moments là.
Les bagarres et l’alcool,
Les insultes et les gestes obscènes.
Les regards, tous ces hommes.
C’est sa scène.
La chaleur, la sueur,
L’odeur du tabac, le mal au coeur.
Et la route, p’tit matin,
Elle sait bien.
Être une star, elle y pense,
En lunettes noires, elle attend sa chance.
Un p’tit doute, un coup d’blues,
Elle avance.
Mais quand c’est à son tour, quand elle prend la lumière,
Quand sa voix couvre toutes les voix,
Elle oublie tout autour, en fermant les paupières,
Elle ne vit que pour ces moments là.
Elle rêve psychodrames superstar attitudes,
Elle rêve photographes, flash et larmes de joie.
On lui dit monde à part, infinie solitude.
Elle répond c’est ma vie, je suis faite pour ça.
Ephémères chimères où plus dure est la chute.
Elle implore pourquoi pas moi?
Pourquoi pas moi?
La salle vide plus personne,
Et toujours ces oreilles qui bourdonnent.
La fatigue, deux, trois rides.
Tu m’étonnes.
Mais quand c’est à son tour, quand elle prend la lumière,
Quand sa voix couvre toutes les voix,
Elle oublie tout autour, en fermant les paupières,
Elle ne vit que pour ces moments là.
Elle est prête à lâcher,
Tout c’qu’elle a contre quelque clichés.
Pour une heure, pour un soir, pour savoir.
Pour une heure, pour un soir, rien qu’un soir.
Pour une heure, pour un soir, rien qu’un soir.
Les galères et les bières, elle sait faire.
Rock and roll ou musette, farandoles, tango, Tina Turner,
Piaf ou rap, ou Sardou. Elle fait tout.
Salles de bal ou gymnases,
Salles des fêtes ou maisons communales,
Clubs de jazz ou guinguettes,
Elle achète.
Se changer, s’maquiller,
Dans des toilettes ou derrière un bar,
Enfumé, pour chanter,
Faut y croire.
Mais quand c’est à son tour, quand elle prend la lumière,
Quand sa voix couvre toutes les voix,
Elle oublie tout autour, en fermant les paupières,
Elle ne vit que pour ces moments là.
Les bagarres et l’alcool,
Les insultes et les gestes obscènes.
Les regards, tous ces hommes.
C’est sa scène.
La chaleur, la sueur,
L’odeur du tabac, le mal au coeur.
Et la route, p’tit matin,
Elle sait bien.
Être une star, elle y pense,
En lunettes noires, elle attend sa chance.
Un p’tit doute, un coup d’blues,
Elle avance.
Mais quand c’est à son tour, quand elle prend la lumière,
Quand sa voix couvre toutes les voix,
Elle oublie tout autour, en fermant les paupières,
Elle ne vit que pour ces moments là.
Elle rêve psychodrames superstar attitudes,
Elle rêve photographes, flash et larmes de joie.
On lui dit monde à part, infinie solitude.
Elle répond c’est ma vie, je suis faite pour ça.
Ephémères chimères où plus dure est la chute.
Elle implore pourquoi pas moi?
Pourquoi pas moi?
La salle vide plus personne,
Et toujours ces oreilles qui bourdonnent.
La fatigue, deux, trois rides.
Tu m’étonnes.
Mais quand c’est à son tour, quand elle prend la lumière,
Quand sa voix couvre toutes les voix,
Elle oublie tout autour, en fermant les paupières,
Elle ne vit que pour ces moments là.
Elle est prête à lâcher,
Tout c’qu’elle a contre quelque clichés.
Pour une heure, pour un soir, pour savoir.
Pour une heure, pour un soir, rien qu’un soir.
Pour une heure, pour un soir, rien qu’un soir.