Les paroles de la chanson
« La chanson des peupliers »
Louis Lynel
Le soir descend sur la colline,
La lune monte dans les cieux
Et les bois fleuris d’aubépine
Sont pleins de bruits harmonieux!
Quelle est cette voix qui soupire
Dans la brume, au déclin du jour?
On dirait une immense lyre,
Préludant à des chants d’amour!
{Refrain:}
Le vent souffle, dans les ramures,
Dans les genêts, dans les sentiers
Entendez-vous ces doux murmures?
C’est la chanson des peupliers!
Voici le chœur errant des brises,
À leurs accords il vient s’unir,
Se mêlant aux voix indécises
Des soirs d’été près de finir!
La nuit a déployé ses voiles;
Les peupliers, pleins de frissons,
Vont à la lueur des étoiles
Moduler leurs frêles chansons!
{au Refrain}
J’entends au fond de la vallée
Les peupliers causer entre eux
La lune un instant s’est voilée,
Tout redevient silencieux!
Mais un murmure au loin s’élève,
Plus doux que le son du hautbois
C’est peut-être un oiseau qui rêve,
Qui rêve à la fraise des bois!
{au Refrain}
J’ai pour amante la nature
Qui fait, parmi les verts roseaux,
Couler la source fraîche et pure,
Où boivent les petits oiseaux!
C’est elle qui, sur les bruyères,
Égrène les papillons bleus
Et fait chanter, dans les clairières,
Les peupliers mélodieux!
{au Refrain}
La lune monte dans les cieux
Et les bois fleuris d’aubépine
Sont pleins de bruits harmonieux!
Quelle est cette voix qui soupire
Dans la brume, au déclin du jour?
On dirait une immense lyre,
Préludant à des chants d’amour!
{Refrain:}
Le vent souffle, dans les ramures,
Dans les genêts, dans les sentiers
Entendez-vous ces doux murmures?
C’est la chanson des peupliers!
Voici le chœur errant des brises,
À leurs accords il vient s’unir,
Se mêlant aux voix indécises
Des soirs d’été près de finir!
La nuit a déployé ses voiles;
Les peupliers, pleins de frissons,
Vont à la lueur des étoiles
Moduler leurs frêles chansons!
{au Refrain}
J’entends au fond de la vallée
Les peupliers causer entre eux
La lune un instant s’est voilée,
Tout redevient silencieux!
Mais un murmure au loin s’élève,
Plus doux que le son du hautbois
C’est peut-être un oiseau qui rêve,
Qui rêve à la fraise des bois!
{au Refrain}
J’ai pour amante la nature
Qui fait, parmi les verts roseaux,
Couler la source fraîche et pure,
Où boivent les petits oiseaux!
C’est elle qui, sur les bruyères,
Égrène les papillons bleus
Et fait chanter, dans les clairières,
Les peupliers mélodieux!
{au Refrain}