Les paroles de la chanson
« Là-bas »
Mano Solo
J’ai laissé là-bas, dans les remous d’une hélice, le dégout et la haine
Et j’ai laissé là-bas le facile d’être triste en pensant à toi
Comme il est loin le temps des regrets ardents
Balayé par l’ennui des souvenirs que l’on fuit
Et j’ai laissé là-bas mes habits de larmes
Couleur de drame, pendu à ton charme
Et j’ai laissé là-bas les chaînes et le boulet
Et l’attente qui jamais n’en finissait
Que de temps passé, que de vains mots chargés balancés sans viser,
Que de rafales attentistes et de d’espoirs revendiqués
Pour se retrouver vidé de cet amour solitaire
Que je n’ai pas voulu faire taire
Cette tempête de silence qui m’insuflait mille brillances
Il me suffisait de plonger dans mon coeur
Une main avide de magnifiques douleurs
Pour fournir ma boucherie d’un viande si tendre
Qu’au souvenir de ton icône j’en faisais l’offrande
J’en ai laissé des cris, des pleurs sur ton répondeur
Peine perdue mais pas pour moi qui l’aurais pourtant vraiment voulu
Et j’ai laissé là-bas les couteaux dans leur plaie
Et les trous béants qui crachaient du vent brûlant
Et j’ai laissé là-bas ma peine à jamais
Même s’il est triste de ne plus être triste en pensant à toi
Et j’ai laissé là-bas le facile d’être triste en pensant à toi
Comme il est loin le temps des regrets ardents
Balayé par l’ennui des souvenirs que l’on fuit
Et j’ai laissé là-bas mes habits de larmes
Couleur de drame, pendu à ton charme
Et j’ai laissé là-bas les chaînes et le boulet
Et l’attente qui jamais n’en finissait
Que de temps passé, que de vains mots chargés balancés sans viser,
Que de rafales attentistes et de d’espoirs revendiqués
Pour se retrouver vidé de cet amour solitaire
Que je n’ai pas voulu faire taire
Cette tempête de silence qui m’insuflait mille brillances
Il me suffisait de plonger dans mon coeur
Une main avide de magnifiques douleurs
Pour fournir ma boucherie d’un viande si tendre
Qu’au souvenir de ton icône j’en faisais l’offrande
J’en ai laissé des cris, des pleurs sur ton répondeur
Peine perdue mais pas pour moi qui l’aurais pourtant vraiment voulu
Et j’ai laissé là-bas les couteaux dans leur plaie
Et les trous béants qui crachaient du vent brûlant
Et j’ai laissé là-bas ma peine à jamais
Même s’il est triste de ne plus être triste en pensant à toi