Les paroles de la chanson
« La ballade de jim douglas »
Gilbert Laffaille
Je m’appelle jim Douglas
Je suis né loin d’ici
Mais j’ai toujours ma place
Au café des Amis
Avec deux sous en poche
Ma guitare sur le dos
J’ai traîné mes galoches
de Londres à Saint-Malo
A jouer dans tous les bars
Pour des gens qui s’en fichent
J’suis passé par hasard
tout en haut de l’affiche
Sans jamais trop y croire
Ni jamais faire semblant
Avec mon chapeau noir
Et mes longs cheveux blancs
J’ai connu ces premières
Que tout Paris attend
La magie des lumières
Et l’ironie du temps
Les grands amis d’un soir
Les bravos les éloges
Et le bout du couloir
Qui peut servir de loge
J’ai croisé quelques stars
Au Paradis Latin
Bu du Château-Soutard
A quatre heures du matin
Sans jamais trop y croire
Ni jamais faire semblant
J’ai eu mon heure de gloire
J’ai mangé mon pain blanc
Woody Guthrie est mort
Et le monde a changé
Pourune fille aux yeux d’or
J’ai bien failli plonger
Des plein-air dans la boue
aux châpiteaux glacés
J’ai tourné comme un fou
Beaucoup sur mon passé
Bergamotes de Nancy
Ou Bétises de Cambrai
Faut toujours faire comme si
Mais chanter pour de vrai
Sans jamais trop y croire
Ni jamais faire semblant
Chanter la mer à boire
Ou les chemins du vent
Avec deux sous en poches
Ma guitare sur le dos
J’ai traîné mes galoches
de Londres à Saint-Malo
Je m’appelle jim Douglas
Je suis né loin d’ici
Mais j’ai toujours ma place
Au café des Amis
Je suis né loin d’ici
Mais j’ai toujours ma place
Au café des Amis
Avec deux sous en poche
Ma guitare sur le dos
J’ai traîné mes galoches
de Londres à Saint-Malo
A jouer dans tous les bars
Pour des gens qui s’en fichent
J’suis passé par hasard
tout en haut de l’affiche
Sans jamais trop y croire
Ni jamais faire semblant
Avec mon chapeau noir
Et mes longs cheveux blancs
J’ai connu ces premières
Que tout Paris attend
La magie des lumières
Et l’ironie du temps
Les grands amis d’un soir
Les bravos les éloges
Et le bout du couloir
Qui peut servir de loge
J’ai croisé quelques stars
Au Paradis Latin
Bu du Château-Soutard
A quatre heures du matin
Sans jamais trop y croire
Ni jamais faire semblant
J’ai eu mon heure de gloire
J’ai mangé mon pain blanc
Woody Guthrie est mort
Et le monde a changé
Pourune fille aux yeux d’or
J’ai bien failli plonger
Des plein-air dans la boue
aux châpiteaux glacés
J’ai tourné comme un fou
Beaucoup sur mon passé
Bergamotes de Nancy
Ou Bétises de Cambrai
Faut toujours faire comme si
Mais chanter pour de vrai
Sans jamais trop y croire
Ni jamais faire semblant
Chanter la mer à boire
Ou les chemins du vent
Avec deux sous en poches
Ma guitare sur le dos
J’ai traîné mes galoches
de Londres à Saint-Malo
Je m’appelle jim Douglas
Je suis né loin d’ici
Mais j’ai toujours ma place
Au café des Amis