Les paroles de la chanson
« La ballade de davy crockett »
Annie Cordy
Y avait un homme qui s’appelait Davy
Il était né dans le Tennessee
Si courageux que quand il était p’tit
Il tua un ours du premier coup d’fusil
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais peur (qui n’a jamais peur)
À quatorze ans il s’était perdu
Dans un désert vaste et inconnu
Pendant dix jours il marcha vers le Sud
Sans rien manger qu’un p’tit peu d’herbe crue
Davy, Davy Crockett,
L’homme qui n’a jamais faim (qui n’a jamais faim)
Pendant la guerre contre les indiens
Il combattit tout seul contre vingt
Ayant une flèche plantée dans une main
Il l’arracha avec son autre main
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais mal (qui n’a jamais mal)
Dans la forêt au cœur de l’hiver
Quand il chassait les loups et les cerfs
Le torse nu et les bras découverts
Il s’en allait riant des courants d’air
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais froid (qui n’a jamais froid)
Quand les Peaux-Rouges demandèrent la paix
Davy serra la main qu’ils tendaient
Avec les chefs il fuma le calumet
Mais sans rien boire, pas même un verre de lait
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais soif (qui n’a jamais soif)
On l’présenta pour les élections
Et ses discours remuaient l’opinion
Il était là dans toutes les réunions
La tête froide malgré son émotion
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais chaud (qui n’a jamais chaud)
C’était un homme qui s’appelait Davy
Tout le monde ici se souvient de lui
Face au danger, à la peur, à la nuit
Face au devoir, à la mort, à la vie.
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais fuit. (qui n’a jamais fuit)
Il était né dans le Tennessee
Si courageux que quand il était p’tit
Il tua un ours du premier coup d’fusil
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais peur (qui n’a jamais peur)
À quatorze ans il s’était perdu
Dans un désert vaste et inconnu
Pendant dix jours il marcha vers le Sud
Sans rien manger qu’un p’tit peu d’herbe crue
Davy, Davy Crockett,
L’homme qui n’a jamais faim (qui n’a jamais faim)
Pendant la guerre contre les indiens
Il combattit tout seul contre vingt
Ayant une flèche plantée dans une main
Il l’arracha avec son autre main
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais mal (qui n’a jamais mal)
Dans la forêt au cœur de l’hiver
Quand il chassait les loups et les cerfs
Le torse nu et les bras découverts
Il s’en allait riant des courants d’air
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais froid (qui n’a jamais froid)
Quand les Peaux-Rouges demandèrent la paix
Davy serra la main qu’ils tendaient
Avec les chefs il fuma le calumet
Mais sans rien boire, pas même un verre de lait
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais soif (qui n’a jamais soif)
On l’présenta pour les élections
Et ses discours remuaient l’opinion
Il était là dans toutes les réunions
La tête froide malgré son émotion
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais chaud (qui n’a jamais chaud)
C’était un homme qui s’appelait Davy
Tout le monde ici se souvient de lui
Face au danger, à la peur, à la nuit
Face au devoir, à la mort, à la vie.
Davy, Davy Crockett
L’homme qui n’a jamais fuit. (qui n’a jamais fuit)