Les paroles de la chanson
« La balade du dimanche »
Renan Luce
Aujourd’hui c’est dimanche, et comme tous les dimanches
Le temps s’est arrêté, il hésite il se penche
Entre l’écho d’hier, et les bribes de demain
Le tac-tic de l’horloge, et c’est l’heure de plus rien
Quand la tête s’embrume, ce sont les pieds qui pensent
Ils veulent comme d’habitude, leur balade du dimanche
Et qu’importe l’Ev’rest, dans cette activité
Ce qui compte c’est le geste, et pas le déniv’lé
Les K-ways sont en boule, et balancent sur les hanches
De cette étrange foule de prom’neurs du dimanche
Tout c’la donne un p’tit air "Roche de Solutré"
Y a toujours devant nous un vieux qui traîne les pieds
Les enfants font la guerre avec des branches cassées
Dans les blockhaus qui naguère attendaient les Anglais
On entend les appels de la famille Machin
Qui a perdu dans l’affaire le petit Jean-Damien
Sur les chemins de terre sont plantés des bancs pour
Y déposer Grand-Mère, qu’on prendra au retour
Et sans notre doyenne, la balade continue
Sur une cadence moyenne légèrement au-dessus
Il faut tout en marchant, protéger ses arrières
Car les chiens et leur truffe ont l’âme aventurière
On les sort de leurs niches pour tester des crois’ments
Imagine un caniche et un berger allemand
Plus loin les premiers signes, on approche de la fin
L’odeur de la cuisine entre deux tranches de pain
La bataille légendaire à coups de branches cassées
S’est conclue par une trêve après une bonne râclée
Au bout d’une falaise, la terre dépose les armes
Et notre balade s’achève devant le royaume des vagues
Entre l’écho d’hier, et les bribes de demain
La chanson de la mer, et c’est l’heure d’être bien
Le temps s’est arrêté, il hésite il se penche
Entre l’écho d’hier, et les bribes de demain
Le tac-tic de l’horloge, et c’est l’heure de plus rien
Quand la tête s’embrume, ce sont les pieds qui pensent
Ils veulent comme d’habitude, leur balade du dimanche
Et qu’importe l’Ev’rest, dans cette activité
Ce qui compte c’est le geste, et pas le déniv’lé
Les K-ways sont en boule, et balancent sur les hanches
De cette étrange foule de prom’neurs du dimanche
Tout c’la donne un p’tit air "Roche de Solutré"
Y a toujours devant nous un vieux qui traîne les pieds
Les enfants font la guerre avec des branches cassées
Dans les blockhaus qui naguère attendaient les Anglais
On entend les appels de la famille Machin
Qui a perdu dans l’affaire le petit Jean-Damien
Sur les chemins de terre sont plantés des bancs pour
Y déposer Grand-Mère, qu’on prendra au retour
Et sans notre doyenne, la balade continue
Sur une cadence moyenne légèrement au-dessus
Il faut tout en marchant, protéger ses arrières
Car les chiens et leur truffe ont l’âme aventurière
On les sort de leurs niches pour tester des crois’ments
Imagine un caniche et un berger allemand
Plus loin les premiers signes, on approche de la fin
L’odeur de la cuisine entre deux tranches de pain
La bataille légendaire à coups de branches cassées
S’est conclue par une trêve après une bonne râclée
Au bout d’une falaise, la terre dépose les armes
Et notre balade s’achève devant le royaume des vagues
Entre l’écho d’hier, et les bribes de demain
La chanson de la mer, et c’est l’heure d’être bien