Les paroles de la chanson
« La baie de somme »
Jean-François Battez
Dis connais-tu la baie de Somme, entre Vimeu et Marquenterre
Ces sables où tant et tant d’oiseaux se retrouvent en hiver
C’est pour moi chaque été, comme une Ile au trésor
Mon chant de liberté ma Camargue du nord
La baie déjà quand tu l’approches tout est si différent
Prairie salée pour les moutons marais fleuris de chevaux blancs
A l’estuaire d’une rivière, jadis grand’route de Picardie
La baie de somme au long des siècles a vu grandir trois filles si jolies
Saint-Valery, près du Hourdelle, niché sur sa colline
La Ferté peu fière que l’on ait bâti les remparts de sa haute ville
Quand la plus seule, naît sur le sable, résiste aux crocs qui autrefois
Dévorèrent son bourg médiéval, fille de la dune, c’est le Crotoy.
Dis connais-tu la baie de Somme, entre Vimeu et Marquenterre
Ces sables où tant et tant d’oiseaux se retrouvent en hiver
C’est pour moi chaque été, comme une île au trésor
Mon chant de liberté ma Camargue du nord
La baie plus vaste que le ciel s’offre alors à tes pas
Pays de sable et de molières plus large que tes bras en croix
Où tout à coup de l’horizon monte vers toi une vague étrange
Courant du flot où pêche un phoque, ce n’est que la mer qui la dérange
L’instant d’après c’est marée haute dans la baie qui scintille
Où les bateaux et les oiseaux se fondent et se confondent
Aux mille couleurs de ce tableau, où chaque soir jamais pareil
Ôtant ses habits les plus beaux vient se coucher le roi soleil
Mais avant tout, vois-tu la baie, c’est la Mère Nourricière
Qui comble depuis tant d’années, les familles des gens de la mer
De sauterelles, de Passe-Pierre de poissons e t de coquillages
La baie pour eux, c’est leur maison et c’est leur champ, c’est leur village
Aussi je n’en dirais pas plus pour qu’il reste à chacun
Ce grand bonheur, jamais déçu, d’un havre pour demain
Havre de paix en Picardie où se cache l’ivresse
Même en vieillesse, le paradis, l’éternité, d’autres jeunesses.
Dis connais-tu la baie de Somme, Dis connais-tu la baie de Somme
Ces sables où tant et tant d’oiseaux se retrouvent en hiver
C’est pour moi chaque été, comme une Ile au trésor
Mon chant de liberté ma Camargue du nord
La baie déjà quand tu l’approches tout est si différent
Prairie salée pour les moutons marais fleuris de chevaux blancs
A l’estuaire d’une rivière, jadis grand’route de Picardie
La baie de somme au long des siècles a vu grandir trois filles si jolies
Saint-Valery, près du Hourdelle, niché sur sa colline
La Ferté peu fière que l’on ait bâti les remparts de sa haute ville
Quand la plus seule, naît sur le sable, résiste aux crocs qui autrefois
Dévorèrent son bourg médiéval, fille de la dune, c’est le Crotoy.
Dis connais-tu la baie de Somme, entre Vimeu et Marquenterre
Ces sables où tant et tant d’oiseaux se retrouvent en hiver
C’est pour moi chaque été, comme une île au trésor
Mon chant de liberté ma Camargue du nord
La baie plus vaste que le ciel s’offre alors à tes pas
Pays de sable et de molières plus large que tes bras en croix
Où tout à coup de l’horizon monte vers toi une vague étrange
Courant du flot où pêche un phoque, ce n’est que la mer qui la dérange
L’instant d’après c’est marée haute dans la baie qui scintille
Où les bateaux et les oiseaux se fondent et se confondent
Aux mille couleurs de ce tableau, où chaque soir jamais pareil
Ôtant ses habits les plus beaux vient se coucher le roi soleil
Mais avant tout, vois-tu la baie, c’est la Mère Nourricière
Qui comble depuis tant d’années, les familles des gens de la mer
De sauterelles, de Passe-Pierre de poissons e t de coquillages
La baie pour eux, c’est leur maison et c’est leur champ, c’est leur village
Aussi je n’en dirais pas plus pour qu’il reste à chacun
Ce grand bonheur, jamais déçu, d’un havre pour demain
Havre de paix en Picardie où se cache l’ivresse
Même en vieillesse, le paradis, l’éternité, d’autres jeunesses.
Dis connais-tu la baie de Somme, Dis connais-tu la baie de Somme