Les paroles de la chanson
« L'un d'entre eux inventa la mort (dieu est mort) »
Gilbert Bécaud
Il y a des millions d’années {x2},
Quand le diable n’était pas né {x2},
Tous les hommes étaient immortels.
Mais l’un d’entre eux, qui était plus fort,
L’un d’entre eux inventa la mort
Ce fut une révolution.
Jusque-là, les filles étaient belles.
On ne se battait pas pour elles {x2}.
Jusque-là, les hommes étaient forts
Mais l’un d’entre eux qui était plus fort,
L’un d’entre eux inventa la mort
Et l’on vit les cheveux blanchir,
Et l’on vit les dos se courber,
Et l’on vit la vie s’envoler {x2}
Des cœurs, des âmes et des corps,
Mais l’un d’entre eux qui était plus fort,
L’un d’entre eux inventa la mort
Alors lui, le petit malin,
Devint le Dieu, le souverain
Il régnait comme un vrai tyran {x2}
Sur la pluie et sur le beau temps,
Sur la pluie et sur le vent du Nord
Il avait inventé la mort {x2}
Il avait inventé l’enfer,
Les voleurs et les assassins,
La pneumonie et le cancer {x2}
La guerre et les conquistadors
Il était vraiment le plus fort
Il avait inventé la mort {x2}
Il restait quand même l’amour
Pour les hommes, c’était l’opium
Ils s’aimaient tant qu’ils le pouvaient {x2}
Puis un jour ils se détestaient
Et l’amour devenait la mort {x2}
Ils mouraient de n’importe quoi,
De misère, d’un bobo au doigt,
En marchant, volant ou nageant {x2}
Dans un lit, dans un guet-apens
Ils étaient condamnés à mort {x2}
Pour se concilier les faveurs
De l’impitoyable seigneur
On brûla quelques inventeurs {x2}
Des poètes et que sais-je encore,
Mais la mort demeurait la mort {x2}
De l’encens, des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur {x2}
Des Credo, des Confiteor,
Des Pater et que sais-je encore,
Mais la mort demeurait la mort {x2}
Alors les hommes se sont dit
"Que peut-on attendre de lui?{2x}
Il faudra travailler longtemps {x2}
Peut-être pendant cent mille ans,
Peut-être plus longtemps encore" {x2}
Alors les hommes
Ont pris un cœur qui ne battait plus
Et puis
Lui ont redonné la vie que l’on croyait perdue
Les hommes
Ont visité les planètes une à une
D’abord
La vieille Lune et Mars et Jupiter et Neptune
Les hommes
Se sont envolés droit vers les étoiles
Et puis
Sont revenus tout raconter dans leurs cathédrales
Les hommes,
Après avoir longtemps, longtemps cherché,
Enfin
Ont découvert le secret de
L’immortalité
Fous de joie d’avoir découvert
Le grand secret de l’Univers,
Ils ont mis leurs plus beaux habits {x2}
Et sont partis vers celui qui {x2}
Leur avait inventé la mort {x2}
Ils avaient vraiment bonne mine
Là-haut dans leurs super machines,
Mais en arrivant au Palais {x2}
Ils avaient les mains qui tremblaient
Et le cœur qui battait très fort {x2}
Une grande porte s’ouvrit
Et puis d’autres à l’infini
Ils suivirent de longs couloirs {x2}
Un huissier en costume noir
Leur dit "Messieurs vous venez tard, vous venez tard
Depuis ce matin à l’aurore {x2}
Dieu est mort" {x2}
Quand le diable n’était pas né {x2},
Tous les hommes étaient immortels.
Mais l’un d’entre eux, qui était plus fort,
L’un d’entre eux inventa la mort
Ce fut une révolution.
Jusque-là, les filles étaient belles.
On ne se battait pas pour elles {x2}.
Jusque-là, les hommes étaient forts
Mais l’un d’entre eux qui était plus fort,
L’un d’entre eux inventa la mort
Et l’on vit les cheveux blanchir,
Et l’on vit les dos se courber,
Et l’on vit la vie s’envoler {x2}
Des cœurs, des âmes et des corps,
Mais l’un d’entre eux qui était plus fort,
L’un d’entre eux inventa la mort
Alors lui, le petit malin,
Devint le Dieu, le souverain
Il régnait comme un vrai tyran {x2}
Sur la pluie et sur le beau temps,
Sur la pluie et sur le vent du Nord
Il avait inventé la mort {x2}
Il avait inventé l’enfer,
Les voleurs et les assassins,
La pneumonie et le cancer {x2}
La guerre et les conquistadors
Il était vraiment le plus fort
Il avait inventé la mort {x2}
Il restait quand même l’amour
Pour les hommes, c’était l’opium
Ils s’aimaient tant qu’ils le pouvaient {x2}
Puis un jour ils se détestaient
Et l’amour devenait la mort {x2}
Ils mouraient de n’importe quoi,
De misère, d’un bobo au doigt,
En marchant, volant ou nageant {x2}
Dans un lit, dans un guet-apens
Ils étaient condamnés à mort {x2}
Pour se concilier les faveurs
De l’impitoyable seigneur
On brûla quelques inventeurs {x2}
Des poètes et que sais-je encore,
Mais la mort demeurait la mort {x2}
De l’encens, des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur {x2}
Des Credo, des Confiteor,
Des Pater et que sais-je encore,
Mais la mort demeurait la mort {x2}
Alors les hommes se sont dit
"Que peut-on attendre de lui?{2x}
Il faudra travailler longtemps {x2}
Peut-être pendant cent mille ans,
Peut-être plus longtemps encore" {x2}
Alors les hommes
Ont pris un cœur qui ne battait plus
Et puis
Lui ont redonné la vie que l’on croyait perdue
Les hommes
Ont visité les planètes une à une
D’abord
La vieille Lune et Mars et Jupiter et Neptune
Les hommes
Se sont envolés droit vers les étoiles
Et puis
Sont revenus tout raconter dans leurs cathédrales
Les hommes,
Après avoir longtemps, longtemps cherché,
Enfin
Ont découvert le secret de
L’immortalité
Fous de joie d’avoir découvert
Le grand secret de l’Univers,
Ils ont mis leurs plus beaux habits {x2}
Et sont partis vers celui qui {x2}
Leur avait inventé la mort {x2}
Ils avaient vraiment bonne mine
Là-haut dans leurs super machines,
Mais en arrivant au Palais {x2}
Ils avaient les mains qui tremblaient
Et le cœur qui battait très fort {x2}
Une grande porte s’ouvrit
Et puis d’autres à l’infini
Ils suivirent de longs couloirs {x2}
Un huissier en costume noir
Leur dit "Messieurs vous venez tard, vous venez tard
Depuis ce matin à l’aurore {x2}
Dieu est mort" {x2}