Les paroles de la chanson
« L'orgue chantait toujours »
Lucienne Delyle
Le bonheur naît bien souvent au hasard d’une rencontre
Dans un salon, dans un thé, dans un bar,
Ou dans un car.
Plus le décor est enchanteur
Et plus l’amour a de chaleur.
Pour que le nôtre se démontre,
On n’a pas eu besoin de fleurs.
{Refrain:}
A la fin du jour, dans un vieux faubourg,
Un orgue chantait l’amour.
Un vieux d’autrefois tournait sans émoi
Son air de chevaux de bois.
En écoutant sa rengaine,
Tu t’es approché de moi
Le long du trottoir, sous le vent du soir,
Berçant un fragile espoir,
Nos deux cœurs plus lourds ont rêvé d’amour
Et l’orgue chantait toujours.
Quand l’amour meurt,
C’est aussi pour certains
Toute une histoire.
Un vieux notaire inscrit sur parchemin
L’affreux destin.
Quand nos deux cœurs ont décidé de reprendre leur liberté,
On n’a pas noirci de grimoire,
Tout simplement, on s’est quittés.
{au Refrain}
En écoutant sa rengaine,
Tu t’es éloigné de moi.
Le long du trottoir, sous le vent du soir,
J’ai vu s’envoler l’espoir.
J’ai dit le cœur lourd
"Adieu, mon amour"
Et l’orgue chantait toujours.
Dans un salon, dans un thé, dans un bar,
Ou dans un car.
Plus le décor est enchanteur
Et plus l’amour a de chaleur.
Pour que le nôtre se démontre,
On n’a pas eu besoin de fleurs.
{Refrain:}
A la fin du jour, dans un vieux faubourg,
Un orgue chantait l’amour.
Un vieux d’autrefois tournait sans émoi
Son air de chevaux de bois.
En écoutant sa rengaine,
Tu t’es approché de moi
Le long du trottoir, sous le vent du soir,
Berçant un fragile espoir,
Nos deux cœurs plus lourds ont rêvé d’amour
Et l’orgue chantait toujours.
Quand l’amour meurt,
C’est aussi pour certains
Toute une histoire.
Un vieux notaire inscrit sur parchemin
L’affreux destin.
Quand nos deux cœurs ont décidé de reprendre leur liberté,
On n’a pas noirci de grimoire,
Tout simplement, on s’est quittés.
{au Refrain}
En écoutant sa rengaine,
Tu t’es éloigné de moi.
Le long du trottoir, sous le vent du soir,
J’ai vu s’envoler l’espoir.
J’ai dit le cœur lourd
"Adieu, mon amour"
Et l’orgue chantait toujours.