Les paroles de la chanson
« L'opéra du mendiant »
Nicola Ciccone

Dans l’bas d’la ville à soir y a plein d’beau rêve allumé
Y a des marchand d’odeur puis des traîneau d’quartier
Y a l’gros bonhomme histoire qui essaie d’raviver l’passé
Y’en a qui s’marche su’l corps, d’autre qui se nourrisse par le nez
Moi j’suis l’bum qui crie son cœur pour s’faire aimer
Pitcher toute vos cenne par terre, faites-moé chanter

Dans l’bas d’la ville à soir les gratte-ciel sont décoré
Y a des fille en chaleur pis des vieux chien manqué
Y a la bonne vieille sorcière avec sa fourche et son gros nez
Y’en a qui vende leur heure, d’autre qui se soûle pour les passer
Moi j’suis l’bum qui crie son cœur pour s’faire aimer
Pitcher toute vos cenne par terre, faites-moé chanter.

Chanter les rue qui gronde la peur.
Le parking des punk tatoué, le carré des maraudeur
La montagne pis ses péché
Chanter la mort qui parle de nos malheur
Et la vie que trop souvent on fait sauter

Dans l’bas d’la ville à soir y a une fille qui est faite pour moé
Elle a les cheveux en or pis des yeux qu’habille l’été
Si j’avais pas si peur j’lui crierais que j’la veux pour moé
Mais la mort reste un mystère pour tous les être mal-aimé
Moi j’suis l’bum qui crie son cœur pour s’faire aimer
Pitcher toute vos cenne par terre, faites-moé chanter.
Moi j’suis l’bum qui crie son cœur pour se faire aimer
Faites-moé chanter