Les paroles de la chanson
« L'indien »
Daniel Guichard
Le monde est aux tricheurs
A tous les prédateurs
Le monde est aux seigneurs
Des mensonges en couleurs
Revendeurs d’illusions
De désinformations
De profits en béton
D’hypocrisie sans fond.
Pas un coin sur la terre
Ne va leur échapper
Les forêts les rivières
Ils vont tout grignoter
Avec tous ces pouvoirs
Qu’ils se sont accordés
Ils récrivent l’histoire
De toute l’humanité.
L’indien, on est toujours l’indien
Quand on ne peut plus rien
Devant ceux qui de loin
Malaxent le destin
L’indien, on est toujours l’indien
Rien d’autre c’est certain
Que finir en esclave
Ou les armes à la main.
La Méditerranée,
L’Amazonie coupée
L’océan barbouillé
Et la terre violée
Un homme ça vaut pas cher
Dans le jeu des affaires
Numéro solitaire
Zéro dans l’univers
Faut pas s’imaginer
Que tout sera joli
Parce qu’on aura pensé
Qu’avoir le droit suffit
Les pays qu’on enchaîne
Sont toujours trop nombreux
Des larmes africaines
A l’occident honteux.
{au Refrain, x3}
Faut pas désespérer
Mais faut pas trop rêver
On peut toujours changer
Le monde et ses idées
Y aura toujours des loups
Et des moutons partout
Mais il faut plus que tout
Il faut rester debout.
A tous les prédateurs
Le monde est aux seigneurs
Des mensonges en couleurs
Revendeurs d’illusions
De désinformations
De profits en béton
D’hypocrisie sans fond.
Pas un coin sur la terre
Ne va leur échapper
Les forêts les rivières
Ils vont tout grignoter
Avec tous ces pouvoirs
Qu’ils se sont accordés
Ils récrivent l’histoire
De toute l’humanité.
L’indien, on est toujours l’indien
Quand on ne peut plus rien
Devant ceux qui de loin
Malaxent le destin
L’indien, on est toujours l’indien
Rien d’autre c’est certain
Que finir en esclave
Ou les armes à la main.
La Méditerranée,
L’Amazonie coupée
L’océan barbouillé
Et la terre violée
Un homme ça vaut pas cher
Dans le jeu des affaires
Numéro solitaire
Zéro dans l’univers
Faut pas s’imaginer
Que tout sera joli
Parce qu’on aura pensé
Qu’avoir le droit suffit
Les pays qu’on enchaîne
Sont toujours trop nombreux
Des larmes africaines
A l’occident honteux.
{au Refrain, x3}
Faut pas désespérer
Mais faut pas trop rêver
On peut toujours changer
Le monde et ses idées
Y aura toujours des loups
Et des moutons partout
Mais il faut plus que tout
Il faut rester debout.