Les paroles de la chanson
« L'indépendantriste »
Robert Charlebois
Elle enfile un bustier fleurdelysé
Pour afficher son autonomie
Il repasse son T-shirt unifolié
En bougonnant après les colonies
Elle trinque au bon roi François Ier
Il tête son scotch from The Old Country
Elle dit que tout ça c’est sa faute à lui
Il ronfle tout seul dans son lit queen la nuit
Faut qu’on s’sépare, u faut qu’on splite
C’est toi qui pars ou moi j’te quitte
Prends le Pacifique, j’garde l’Atlantique
Forever indépendant triste
Faut qu’on s’sépare, y faut qu’on splite
C’est toi qui pars ou moi j’te quitte
Sois pacifique, j’reste authentique
Together indépendant triste
En chambre bleue quand elle démaquille
Sa constitution frêde de vieille fille
C’est la première à revenir en arrière
Une dernière fois pour que demain soit hier
Ils se sont aimés... well! souverainement
Mais maintenant les enfants sont grands
Et la maison où ils étaient heureux
Est à vendre sur la terre de nos aïeux
Elle l’a aimé, son bel Ottawa,
Des Rockies en passant par Moose Jaw
Je me souviens: ne croyez pas qu’elle pleure
D’un océan à l’autre des larmes de bonheur.
Pour afficher son autonomie
Il repasse son T-shirt unifolié
En bougonnant après les colonies
Elle trinque au bon roi François Ier
Il tête son scotch from The Old Country
Elle dit que tout ça c’est sa faute à lui
Il ronfle tout seul dans son lit queen la nuit
Faut qu’on s’sépare, u faut qu’on splite
C’est toi qui pars ou moi j’te quitte
Prends le Pacifique, j’garde l’Atlantique
Forever indépendant triste
Faut qu’on s’sépare, y faut qu’on splite
C’est toi qui pars ou moi j’te quitte
Sois pacifique, j’reste authentique
Together indépendant triste
En chambre bleue quand elle démaquille
Sa constitution frêde de vieille fille
C’est la première à revenir en arrière
Une dernière fois pour que demain soit hier
Ils se sont aimés... well! souverainement
Mais maintenant les enfants sont grands
Et la maison où ils étaient heureux
Est à vendre sur la terre de nos aïeux
Elle l’a aimé, son bel Ottawa,
Des Rockies en passant par Moose Jaw
Je me souviens: ne croyez pas qu’elle pleure
D’un océan à l’autre des larmes de bonheur.