Les paroles de la chanson
« L'île de toussaint »
Yves Duteil
Un petit homme blond
Apparaît sur la Terre
Toussaint est son prénom
Et me voilà grand’père...
Je sais l’île de Pâques
Et ses géants de pierre
Mais l’île de Toussaint
A de plus grands mystères
C’est aussi mon pays
Et j’y reste à demeure
Pour m’en aller d’ici
Il faudrait que je meure
Son île est comme un phare
Au milieu des tempêtes
On y trouve la paix
Le calme et le repos
Les vagues et les oiseaux
Viennent y faire la fête
Ils savent bien qu’ailleurs
Rien ne serait plus beau
Et si les compagnons
Des jeux de son enfance
S’y endorment le soir
Autour du grand tapis
Ils s’éveillent au salon
Dès que la nuit commence
Et s’en vont en secret
Le rejoindre sans bruit...
Dans son île magique
On invente le temps
On part en Amérique
Emportés par le vent
Et l’on voyage au loin
Parfois pendant des heures
Tout autour du jardin
Pour arroser les fleurs
Mais jamais le soleil
Ne s’y couche le soir
Avant que j’aie chanté
La chanson de Babar...
Petit Prince en exil
Perdu sur ma planète
Je te dessinerai
Les moutons que tu veux
Mais ne perds pas ce bleu
Qui grandit dans ta tête
Et laisse-moi toujours
M’y plonger dans tes yeux
Loin de l’île de Paques
Aux fabuleux trésors
Ton île Ô mon Toussaint
Est bien plus belle encore
Je voudrais vivre là
Jusqu’à ce que je meure
Et même pour un jour
Ou même pour une heure
Je voudrais vivre là
Jusqu’à ce que je meure
Ne plus jamais partir
Aussi loin de ton coeur...
Apparaît sur la Terre
Toussaint est son prénom
Et me voilà grand’père...
Je sais l’île de Pâques
Et ses géants de pierre
Mais l’île de Toussaint
A de plus grands mystères
C’est aussi mon pays
Et j’y reste à demeure
Pour m’en aller d’ici
Il faudrait que je meure
Son île est comme un phare
Au milieu des tempêtes
On y trouve la paix
Le calme et le repos
Les vagues et les oiseaux
Viennent y faire la fête
Ils savent bien qu’ailleurs
Rien ne serait plus beau
Et si les compagnons
Des jeux de son enfance
S’y endorment le soir
Autour du grand tapis
Ils s’éveillent au salon
Dès que la nuit commence
Et s’en vont en secret
Le rejoindre sans bruit...
Dans son île magique
On invente le temps
On part en Amérique
Emportés par le vent
Et l’on voyage au loin
Parfois pendant des heures
Tout autour du jardin
Pour arroser les fleurs
Mais jamais le soleil
Ne s’y couche le soir
Avant que j’aie chanté
La chanson de Babar...
Petit Prince en exil
Perdu sur ma planète
Je te dessinerai
Les moutons que tu veux
Mais ne perds pas ce bleu
Qui grandit dans ta tête
Et laisse-moi toujours
M’y plonger dans tes yeux
Loin de l’île de Paques
Aux fabuleux trésors
Ton île Ô mon Toussaint
Est bien plus belle encore
Je voudrais vivre là
Jusqu’à ce que je meure
Et même pour un jour
Ou même pour une heure
Je voudrais vivre là
Jusqu’à ce que je meure
Ne plus jamais partir
Aussi loin de ton coeur...