Les paroles de la chanson
« L'homme qui avait fait fuir ses rêves »
Jean-Michel Piton
Le soleil s’attardait sur les toits et les tuiles humides
Le soir glissait du ciel lentement sur le sol
Le vent, lui, s’endormait peu à peu dans un coin du parking
Et l’homme à la fenêtre pensait aux parfums d’un jardin
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {x2}
Le jour se reposait et les heures s’asseyaient en silence
Le temps devient plus long lorsqu’il fait presque nuit
Les visages des arbres se montraient en souriant tristement
Et l’homme à la fenêtre leur sourit tristement à son tour
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {x2}
Le bruit d’un long-courrier tout là-haut déchirait la pluie fine
Des gouttes de lumière y venaient y mourir
Le bleu d’un gyrophare fouillait les feuilles des peupliers
Et l’homme à la fenêtre aperçut deux pigeons qui s’y cachaient
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {x2}
La radio écoulait ses refrains aux amours insensibles
Les larmes étaient en trop, la douleur suffisait
La voix de l’intérieur, malgré tout, reprenait en sourdine
Et l’homme à la fenêtre pleura une plume qui tombait
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {ad lib}
Le soir glissait du ciel lentement sur le sol
Le vent, lui, s’endormait peu à peu dans un coin du parking
Et l’homme à la fenêtre pensait aux parfums d’un jardin
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {x2}
Le jour se reposait et les heures s’asseyaient en silence
Le temps devient plus long lorsqu’il fait presque nuit
Les visages des arbres se montraient en souriant tristement
Et l’homme à la fenêtre leur sourit tristement à son tour
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {x2}
Le bruit d’un long-courrier tout là-haut déchirait la pluie fine
Des gouttes de lumière y venaient y mourir
Le bleu d’un gyrophare fouillait les feuilles des peupliers
Et l’homme à la fenêtre aperçut deux pigeons qui s’y cachaient
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {x2}
La radio écoulait ses refrains aux amours insensibles
Les larmes étaient en trop, la douleur suffisait
La voix de l’intérieur, malgré tout, reprenait en sourdine
Et l’homme à la fenêtre pleura une plume qui tombait
L’homme qui avait fait fuir ses rêves {ad lib}