Les paroles de la chanson
« L'homme à tête de loup »
Maxime Le Forestier
C’est un homme qui traîne entre les deux pôles,
Juste une tête de loup posée sur les épaules.
C’est un homme qui vit sans manger personne,
Bien caché, de peur d’ la peur des loups à têtes d’hommes.
Change de tanière tous les deux soirs,
Fuit la lumière dans les rues noires
Et les gardiens des enfants fous.
Parlaient d’ l’homme,
Parlaient d’ l’homme,
De l’homme à tête de loup,
Qu’il arrivait dans les villes
Les nuits d’orage, qu’il
Faisait ses coups
Dans les égouts,
L’homme à tête de loup.
Il servait à faire des enfants dociles,
Des parents prudents, des filles qui sortent pas toutes seules.
Reconnaître un inconnu, c’est facile.
Il suffit d’ savoir de lui qu’il a une sale gueule.
Change de tanière le mauvais soir.
Un réverbère dans la rue noire.
Une fille qui dit " pas peur de vous,
Peur de l’homme,
Peur de l’homme,
De l’homme à tête de loup.
Me laissez pas dans la ville
La nuit, seule, tant qu’il
Est pas mort, ou
Sous les verrous,
L’homme à tête de loup.
A coups d’ pierres ou
A coups d’ cailloux,
L’ sortir de son trou,
Poser des pièges et
Faut l’enfumer,
Faut l’affamer,
L’empoisonner,
L’enfermer dans des cages en fer,
Toujours allumer la lumière,
L’entourer d’un mur en béton,
Couper l’image et couper l’ son.
J’ vis pas tant qu’il
Est pas mort ou
Sous les verrous,
L’homme à tête de loup. "
C’est un homme qui traîne entre les deux pôles,
Juste une tête de loup collée sur les épaules.
C’est un homme qui vit sans manger personne,
Bien caché, de peur d’ la peur des loups à tête d’homme,
Cherche une tanière, change de trottoir,
Quitte la lumière sans dire au revoir
Et puis s’éloigne tout doux, tout doux
A pas d’homme,
A pas d’homme,
D’homme à tête de loup.
Juste une tête de loup posée sur les épaules.
C’est un homme qui vit sans manger personne,
Bien caché, de peur d’ la peur des loups à têtes d’hommes.
Change de tanière tous les deux soirs,
Fuit la lumière dans les rues noires
Et les gardiens des enfants fous.
Parlaient d’ l’homme,
Parlaient d’ l’homme,
De l’homme à tête de loup,
Qu’il arrivait dans les villes
Les nuits d’orage, qu’il
Faisait ses coups
Dans les égouts,
L’homme à tête de loup.
Il servait à faire des enfants dociles,
Des parents prudents, des filles qui sortent pas toutes seules.
Reconnaître un inconnu, c’est facile.
Il suffit d’ savoir de lui qu’il a une sale gueule.
Change de tanière le mauvais soir.
Un réverbère dans la rue noire.
Une fille qui dit " pas peur de vous,
Peur de l’homme,
Peur de l’homme,
De l’homme à tête de loup.
Me laissez pas dans la ville
La nuit, seule, tant qu’il
Est pas mort, ou
Sous les verrous,
L’homme à tête de loup.
A coups d’ pierres ou
A coups d’ cailloux,
L’ sortir de son trou,
Poser des pièges et
Faut l’enfumer,
Faut l’affamer,
L’empoisonner,
L’enfermer dans des cages en fer,
Toujours allumer la lumière,
L’entourer d’un mur en béton,
Couper l’image et couper l’ son.
J’ vis pas tant qu’il
Est pas mort ou
Sous les verrous,
L’homme à tête de loup. "
C’est un homme qui traîne entre les deux pôles,
Juste une tête de loup collée sur les épaules.
C’est un homme qui vit sans manger personne,
Bien caché, de peur d’ la peur des loups à tête d’homme,
Cherche une tanière, change de trottoir,
Quitte la lumière sans dire au revoir
Et puis s’éloigne tout doux, tout doux
A pas d’homme,
A pas d’homme,
D’homme à tête de loup.