Les paroles de la chanson
« L'homme à l'imper »
Isabelle Mayereau
Il traînait sous son imper
Une vie intense, pas pépère
Il disait "Ciel! Oh, ma mère
J’ vais terminer en enfer"
Il traînait dans les cimetières,
Jardins publics, squares divers
Montrait son nez aux p’tites mères
En ouvrant doucement son imper
L’homme à l’imper {x2}
"Help!" criaient les douairières
Il vient d’ montrer son derrière
L’ derrière prenait son vélo
D’avant-guerre, c’était un Peugeot
L’homme à l’imper {x4}
Il s’ planquait derrière une barrière
Remplie de graffitis amers
Puis, attendait que la nuit tombe
Pour alors commencer sa ronde
L’homme à l’imper {x2}
Il connaissait tous les quartiers,
Du plus sombre au plus éclairé,
Tout commençait à dix heures vingt
Du téléfilm, c’était la fin
Il répertoriait les fenêtres
Dont les persiennes étaient ouvertes
Avait les heures sur son calepin
Des habitués des salles de bains
(L’homme à l’imper)
Il traînait sous son imper
(L’homme à l’imper)
Une vie intense, pas pépère
(L’homme à l’imper)
Il disait "Ciel! Oh, ma mère
(L’homme à l’imper)
J’ vais terminer en enfer"
Quand il rentrait rue des Saints-Pères
Il fermait ses volets ouverts
Et colmatait de son chewing-gum
Le trou de la serrure car l’homme
Ne souhaitait pas, c’était sincère,
Que son strip-tease soit découvert
Qu’ dans la pénombre d’un réverbère
On le voit ôter son imper
L’homme à l’imper {x4}
(L’homme à l’imper)
Il traînait sous son imper
(L’homme à l’imper)
Une vie intense, pas pépère
(L’homme à l’imper)
Il disait "Ciel! Oh, ma mère
(L’homme à l’imper)
J’ vais terminer en enfer"
(L’homme à l’imper)
Il traînait dans les cimetières
(L’homme à l’imper)
Jardins publics, squares divers
(L’homme à l’imper)
Montrait son nez aux p’tites mères
(L’homme à l’imper)
En ouvrant doucement son imper
L’homme à l’imper {ad lib}
Une vie intense, pas pépère
Il disait "Ciel! Oh, ma mère
J’ vais terminer en enfer"
Il traînait dans les cimetières,
Jardins publics, squares divers
Montrait son nez aux p’tites mères
En ouvrant doucement son imper
L’homme à l’imper {x2}
"Help!" criaient les douairières
Il vient d’ montrer son derrière
L’ derrière prenait son vélo
D’avant-guerre, c’était un Peugeot
L’homme à l’imper {x4}
Il s’ planquait derrière une barrière
Remplie de graffitis amers
Puis, attendait que la nuit tombe
Pour alors commencer sa ronde
L’homme à l’imper {x2}
Il connaissait tous les quartiers,
Du plus sombre au plus éclairé,
Tout commençait à dix heures vingt
Du téléfilm, c’était la fin
Il répertoriait les fenêtres
Dont les persiennes étaient ouvertes
Avait les heures sur son calepin
Des habitués des salles de bains
(L’homme à l’imper)
Il traînait sous son imper
(L’homme à l’imper)
Une vie intense, pas pépère
(L’homme à l’imper)
Il disait "Ciel! Oh, ma mère
(L’homme à l’imper)
J’ vais terminer en enfer"
Quand il rentrait rue des Saints-Pères
Il fermait ses volets ouverts
Et colmatait de son chewing-gum
Le trou de la serrure car l’homme
Ne souhaitait pas, c’était sincère,
Que son strip-tease soit découvert
Qu’ dans la pénombre d’un réverbère
On le voit ôter son imper
L’homme à l’imper {x4}
(L’homme à l’imper)
Il traînait sous son imper
(L’homme à l’imper)
Une vie intense, pas pépère
(L’homme à l’imper)
Il disait "Ciel! Oh, ma mère
(L’homme à l’imper)
J’ vais terminer en enfer"
(L’homme à l’imper)
Il traînait dans les cimetières
(L’homme à l’imper)
Jardins publics, squares divers
(L’homme à l’imper)
Montrait son nez aux p’tites mères
(L’homme à l’imper)
En ouvrant doucement son imper
L’homme à l’imper {ad lib}