Les paroles de la chanson
« L'évangile (selon robert) »
Michel Sardou
Je me souviens d’une fille blonde
Mais je ne sais plus son nom
Nous l’avons tous connue
C’est le premier amour volé.
Celui qui nous envoie au bout du monde
Chercher des allumettes...
C’est fou comme les tabacs sont loin
Dans les hôtels paumés.
Je l’ai gardée autant que j’ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je l’ai perdue.
Au hasard d’une rencontre
On ne se souviendrait plus.
Le temps passe, on oublie
Et on ne reconnaît rien
Ca va de la blonde de sa vie
A celle de c’matin.
Débile
Débile et on oublie (bis).
Je me souviens d’un connard
Qui n’pouvait pas m’pifer
Nous l’avons tous connu
C’est l’premier gros qui aime cogner.
Celui qui nous envoie au fond d’la cour
Pour ne pas l’croiser...
C’est fou c’qui y a comme cons
Qui deviennent bacheliers.
Je l’ai haï autant que j’ai pu
Et puis à cause du temps
Un jour il s’est perdu.
Même si je l’retrouvais
Je ne m’en souviendrais plus.
Le temps passe, on oublie
Et plus je ne reconnaîs rien
Ca va du premier abruti
A celui de demain matin.
Débile
Débile et on oublie (bis).
Quand c’est fini, c’est pas fini
L’eau devient mer et revient pluie.
Les filles, l’alcool, la coke, les matins gris
Et puis sa femme qui n’attend plus
Qui s’tire avec un inconnu
Seuls les chagrins restent à leur place
Avec leurs sales gueules dans la glace.
Je me suis juré cent fois
De remettre tout à plat
Nous avons tous fait ça
Je jure de n’plus jamais jurer.
Ce genre de truc qui vous envoie
Au bout du monde
Pour vous vider la tête...
C’est fou comme les alcools sont vagues
A 47 degrés...
J’ai encaissé autant que j’ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je n’ai plus bu.
Juste pour accompagner
Un verre d’eau whishysée.
Le temps passe on oublie
Et on n’reconnaît rien
Ça va d’la blonde à l’abruti
Jusqu’aux voyages au bout de la nuit.
Débile
Débile et on oublie (ter).
Mais je ne sais plus son nom
Nous l’avons tous connue
C’est le premier amour volé.
Celui qui nous envoie au bout du monde
Chercher des allumettes...
C’est fou comme les tabacs sont loin
Dans les hôtels paumés.
Je l’ai gardée autant que j’ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je l’ai perdue.
Au hasard d’une rencontre
On ne se souviendrait plus.
Le temps passe, on oublie
Et on ne reconnaît rien
Ca va de la blonde de sa vie
A celle de c’matin.
Débile
Débile et on oublie (bis).
Je me souviens d’un connard
Qui n’pouvait pas m’pifer
Nous l’avons tous connu
C’est l’premier gros qui aime cogner.
Celui qui nous envoie au fond d’la cour
Pour ne pas l’croiser...
C’est fou c’qui y a comme cons
Qui deviennent bacheliers.
Je l’ai haï autant que j’ai pu
Et puis à cause du temps
Un jour il s’est perdu.
Même si je l’retrouvais
Je ne m’en souviendrais plus.
Le temps passe, on oublie
Et plus je ne reconnaîs rien
Ca va du premier abruti
A celui de demain matin.
Débile
Débile et on oublie (bis).
Quand c’est fini, c’est pas fini
L’eau devient mer et revient pluie.
Les filles, l’alcool, la coke, les matins gris
Et puis sa femme qui n’attend plus
Qui s’tire avec un inconnu
Seuls les chagrins restent à leur place
Avec leurs sales gueules dans la glace.
Je me suis juré cent fois
De remettre tout à plat
Nous avons tous fait ça
Je jure de n’plus jamais jurer.
Ce genre de truc qui vous envoie
Au bout du monde
Pour vous vider la tête...
C’est fou comme les alcools sont vagues
A 47 degrés...
J’ai encaissé autant que j’ai pu
Et puis à cause du temps
Un soir je n’ai plus bu.
Juste pour accompagner
Un verre d’eau whishysée.
Le temps passe on oublie
Et on n’reconnaît rien
Ça va d’la blonde à l’abruti
Jusqu’aux voyages au bout de la nuit.
Débile
Débile et on oublie (ter).