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Les paroles de la chanson
« L'espoir fait vivre »
L'AB2C

La plus part des gens me cherchent, m’appellent mais je n’arrive pas, maîtrise toi, tu me verras dans une autres histoire et c’est assez facile on arrive à m’imaginer seulement je ne veux pas rester, je ne veux pas m’enraciner et puis tu garderas cet espoir de me toucher mais les échecs qui s’entassent vont te troubler, formés d’une structure basée sur de l’éphémère et pourtant vous savez, vous avez rêvés d’elle, puis je ne suis pas collectif, alors tu m’attends avec des objectifs mais seulement après ça, tu dis que c’est toujours pas ça, tu voudrais que je te donne autre chose que des crachas, t’as perdu la face en voulant courir après moi et la plus part du temps on sait pas mourir avec moi, c’est chaque fois le même cinéma tu me prends pour un imposteur, tu comprends pas pourquoi on m’appelle, le bonheur.
On s’égare en voulant décrocher la Lune, on se réveille en étant perdu dans la brume. On fait des crises de larmes et puis des crises de nerfs. Il faut libérer la joie car elle est prisonnière. On s’égare en voulant décrocher la Lune, on se réveille en étant perdu dans la brume. Malgré les cris, les coups, on veut maîtriser tout, à la place la plus part devienne triste et fou.
Quand à moi voilà, j’apparais dans ta vie quand tu m’attends pas. Je peux te prendre des années même si tu m’veux pas tant que ça, j’peux dépasser n’importe quel torture, j’suis qu’une belle ordure, quand je croque c’est une vraie morsure! Je ne triche pas, j’ai squatté ton estomac après ça je ne pars pas, je fais un effet sauvage. Tu m’as connus et pourtant tu me connaîtras encore, t’auras ce même arrière goût qui passera en force. Je te durcis mais souvent je t’affaiblis, quoi t’as pas saisis, je risque de ne pas passer vite, c’est un pressing cérébrale corporel et quand je te fais signe on dirait que la mort sommeille, je suis là quand le bonheur ne se montre pas, alors j’en profite et viens me serrer contre toi. Je n’ai pas de pitié, te blesse à outrance je t’envoie gicler, je suis la souffrance.
On s’égare en voulant décrocher la Lune, on se réveille en étant perdu dans la brume. On fait des crises de larmes et puis des crises de nerfs. Il faut libérer la joie car elle est prisonnière. On s’égare en voulant décrocher la Lune, on se réveille en étant perdu dans la brume. Malgré les cris, les coups, on veut maîtriser tout, à la place la plus part devienne triste et fou.
Et enfin quand à moi je te rongerais la tête, et ne crois pas que si tu me touches, j’épongerais ta tête. Le plus souvent si tu comprends, tu n’veux pas faire appelle à moi mais c’est le désespoir qui fait de la peine à voir. Et je n’suis pas celui qui te sort de la détresse, courageux tu n’es pas, c’est plutôt de la faiblesse mais tu ne dois pas penser à moi pendant tes idées noires car je t’obséderais à chaque fois que tu vas vider le bar. Je peux parcourir tes veines et puis ta cervelle surtout ne me cherche pas, tu n’es pas éternelle. Je vais me placer chez les jeunes et puis les dépressifs, je sais rester précis, je ne suis pas régressifs, je me balade avec une lame ou bien une corde, c’est qu’elles peuvent te tordre, c’est qu’elles peuvent te mordre. Putain mais j’hallucine, s’il te plaît soit lucide même dans un état nuisible ou bien c’est le suicide!
On s’égare en voulant décrocher la Lune, on se réveille en étant perdu dans la brume. On fait des crises de larmes et puis des crises de nerfs. Il faut libérer la joie car elle est prisonnière. On s’égare en voulant décrocher la Lune, on se réveille en étant perdu dans la brume. Malgré les cris, les coups, on veut maîtriser tout, à la place la plus part devienne triste et fou.