Les paroles de la chanson
« L'espérance »
Jacques Bertin
Oh, s’il te plaît, reparle-moi de ces hôtels
Où nous aurions pu aller tous deux hors saison
Vacances studieuses, plage des Demoiselles,
Reparle-moi de ce passé, nous y serons
Des formes figées sous le kiosque, le quatuor
Dans ce parc où un astrolabe fut perdu
Sur le violon du cap, l’archet du vent du nord
Des drapeaux pendant comme des amours déçues
Terrasses vides, gravillons blancs, tourbillons
Une ondée, on s’ennuie, tu as garni un vase
Tourne les pages du passé sans jours, sans phrases
Contre le futur, enfant triste, mets ton front
Tu y voyais des coeurs appareillant aux nues
Tu y voyais danser d’anciennes demoiselles
A quoi tu rêves, avec ta belle âme en dentelle?
Nous y errions, puis ce souvenir s’est perdu
Comme effacé sur l’aquarelle l’espérance,
Elle, demeure à tout jamais, ne parlons pas
Je vois une villa isolée sur la Rance
Et toi, dans les soirs qui reviennent sur tes pas
Où nous aurions pu aller tous deux hors saison
Vacances studieuses, plage des Demoiselles,
Reparle-moi de ce passé, nous y serons
Des formes figées sous le kiosque, le quatuor
Dans ce parc où un astrolabe fut perdu
Sur le violon du cap, l’archet du vent du nord
Des drapeaux pendant comme des amours déçues
Terrasses vides, gravillons blancs, tourbillons
Une ondée, on s’ennuie, tu as garni un vase
Tourne les pages du passé sans jours, sans phrases
Contre le futur, enfant triste, mets ton front
Tu y voyais des coeurs appareillant aux nues
Tu y voyais danser d’anciennes demoiselles
A quoi tu rêves, avec ta belle âme en dentelle?
Nous y errions, puis ce souvenir s’est perdu
Comme effacé sur l’aquarelle l’espérance,
Elle, demeure à tout jamais, ne parlons pas
Je vois une villa isolée sur la Rance
Et toi, dans les soirs qui reviennent sur tes pas