Les paroles de la chanson
« L'enfant volé »
La Bolduc
Le monde entier se révolte et s’alarme en ce moment
Devant la douleur d’une pauvre femme pleurant son enfant,
Des ravisseurs, brutes à face humaine, sans hésiter
Pour un peu d’argent, ces énergumènes l’ont enlevé,
Prirent le pauvre enfant qui dormait tranquillement
Partirent tôt, si tôt, sans même laisser de traces
Et toujours, elle entend cette plainte qui l’agace
"Maman, maman... "
Et là-bas dans les airs, l’aigle fond dans l’espace
Cherchant des ravisseurs à retrouver la trace
Tristes bandits qui venez dans la nuit
Briser ainsi le cœur des malheureux
Prenez bien garde, le Ciel dans sa fureur
Vous punira un jour pour ces malheurs
Il était là, rayonnant de jeunesse, cet ange blond
Vivant, choyé, entouré de caresses comme l’aiglon
Mais les vautours qu’aucun crime n’arrête, ces assassins,
S’emparèrent du pauvre petit être, triste destin,
Prirent l’enfant dans son lit, leur forfait accompli
S’en allèrent sourdement, disparaissant dans l’ombre,
Pendant que les parents cherchaient sur terre et l’onde
Pitié, pitié...
Et là-bas, tout là-bas, la foule s’achemine
Elle cherche à chaque pas à découvrir le crime
Mères, à genoux priez, suppliez Dieu
De mettre fin au cauchemar affreux
Et surtout veillez bien sur vos enfants,
Qu’ils échappent au sort de cet innocent
Devant la douleur d’une pauvre femme pleurant son enfant,
Des ravisseurs, brutes à face humaine, sans hésiter
Pour un peu d’argent, ces énergumènes l’ont enlevé,
Prirent le pauvre enfant qui dormait tranquillement
Partirent tôt, si tôt, sans même laisser de traces
Et toujours, elle entend cette plainte qui l’agace
"Maman, maman... "
Et là-bas dans les airs, l’aigle fond dans l’espace
Cherchant des ravisseurs à retrouver la trace
Tristes bandits qui venez dans la nuit
Briser ainsi le cœur des malheureux
Prenez bien garde, le Ciel dans sa fureur
Vous punira un jour pour ces malheurs
Il était là, rayonnant de jeunesse, cet ange blond
Vivant, choyé, entouré de caresses comme l’aiglon
Mais les vautours qu’aucun crime n’arrête, ces assassins,
S’emparèrent du pauvre petit être, triste destin,
Prirent l’enfant dans son lit, leur forfait accompli
S’en allèrent sourdement, disparaissant dans l’ombre,
Pendant que les parents cherchaient sur terre et l’onde
Pitié, pitié...
Et là-bas, tout là-bas, la foule s’achemine
Elle cherche à chaque pas à découvrir le crime
Mères, à genoux priez, suppliez Dieu
De mettre fin au cauchemar affreux
Et surtout veillez bien sur vos enfants,
Qu’ils échappent au sort de cet innocent