Les paroles de la chanson
« L'égocentrisme de l'assassin »
Assassin
Dans la forêt sombre des psychoses diverses,
Je verse mes émotions dans les notions qui me restent.
Il est facile de perdre l’équilibre sur une circonférence,
Perdue dans l’univers trouble d’un horizon dense.
Car chaque individu, chacun d’entre nous sur cette terre,
A, au plus profond de lui, son ego comme adversaire.
Attendant paisiblement comme le requin dans la nuit noire des fonds marins,
La venue prochaine de l’Assassin.
Celui qui réveillera nos faiblesses, nos différences,
Travaillant le mental, déstabilisant la patience.
Il est là, présent, voit ce que l’on voit, vit ce que l’on vit,
Prêt à tout, faisant partie intégrante de nos esprits.
Prisonnier de ses propres émotions,
C’est un effort permanent pour ne pas être prisonnier de sa pression.
Les fleurs éclosent dans un monde où l’on cultive l’individualisme,
Où les racines ont pris forme dans les "libertés" du capitalisme.
Tu comprends pourquoi les fruits sont souvent avariés,
L’eau qui les arrose est trop souvent polluée
D’avidité, de cupidité guidée par l’égocentrisme
Qui s’immisce dans chacun de nous, puis glisse...
Dans les cellules conscientes de notre anatomie.
Ce putain de système parfois me mash up l’esprit.
Me fait plonger dans mon ego plutôt que dans la lucidité.
Il est parfois dur d’appliquer ces belles théories avec des enculés.
Le miroir reflète l’image, mais l’image est souvent sombre.
Quand l’ego surplombe la conscience et s’active dans la pénombre.
Seul dans une ville de grande solitude.
La face cachée de notre ego ne veut pas perdre son attitude.
Il lutte, il lutte, mais le système l’oppresse.
L’égocentrisme de l’Assassin intervient quand le mental stresse.
L’heure sonne, l’heure sonne, monte les basses au maximum!
Le dédoublement de ma personne s’imbibe de ce qui l’environne.
Sous transfusion du virus de consommation,
J’irais bien karna cet enfoiré vu sa maison.
Vu ma vision, vu que j’ai perdu ma raison,
Laissée à l’abandon dans les rues de cette nation qui m’a vu naître.
Un numéro, une étiquette,
Un nom, un prénom, une classe sociale et bienvenue sur la planète.
Prends à droite, prends à gauche, tout est indiqué, tout est dirigé
Laisse faire l’Etat, le schéma est bien pensé.
Bullshit! Comme le dirait le home boy Aroïne.
L’homme est un loup pour l’homme, mais j’ai décidé de contrôler ma personne.
C’est sûr, c’est dur mais je pense au futur
Puis soudain mon ego me revient à toute allure.
Ramenant le côté impur des pensées malsaines,
Celles qui traînent dans les extrêmes, celles qui font que mon cœur saigne.
Il est en moi, car mon moi est son moi,
Et sans émoi, à la moindre occasion il me foudroie - Booyaka!
Car si je laisse l’égocentrisme me contrôler comme ils le veulent,
Je serai un nouveau naufragé, seul.
Bien seul avec mes pensées quand je m’endors.
Seul, bien seul avec ma rancœur et mes remords.
Le miroir reflète l’image, mais l’image est souvent sombre.
Quand l’ego surplombe la conscience et s’active dans la pénombre.
{au Refrain}
Click, clack le maniak se dédouble en moi,
Mes réflexes sont conditionnés par sa voix.
Qui, elle-même, est le reflet de la tension qui oppresse ma personne.
Dur de rester fresh quand on vit à Babylone!
Pourtant le désespoir est une insulte à l’avenir.
C’est une phrase bien optimiste quant on laisse les gens mourir.
Et mon ego le sait, on ne lui ment pas.
Le seul qui peut le stopper dans ses actes, C’EST....
Je verse mes émotions dans les notions qui me restent.
Il est facile de perdre l’équilibre sur une circonférence,
Perdue dans l’univers trouble d’un horizon dense.
Car chaque individu, chacun d’entre nous sur cette terre,
A, au plus profond de lui, son ego comme adversaire.
Attendant paisiblement comme le requin dans la nuit noire des fonds marins,
La venue prochaine de l’Assassin.
Celui qui réveillera nos faiblesses, nos différences,
Travaillant le mental, déstabilisant la patience.
Il est là, présent, voit ce que l’on voit, vit ce que l’on vit,
Prêt à tout, faisant partie intégrante de nos esprits.
Prisonnier de ses propres émotions,
C’est un effort permanent pour ne pas être prisonnier de sa pression.
Les fleurs éclosent dans un monde où l’on cultive l’individualisme,
Où les racines ont pris forme dans les "libertés" du capitalisme.
Tu comprends pourquoi les fruits sont souvent avariés,
L’eau qui les arrose est trop souvent polluée
D’avidité, de cupidité guidée par l’égocentrisme
Qui s’immisce dans chacun de nous, puis glisse...
Dans les cellules conscientes de notre anatomie.
Ce putain de système parfois me mash up l’esprit.
Me fait plonger dans mon ego plutôt que dans la lucidité.
Il est parfois dur d’appliquer ces belles théories avec des enculés.
Le miroir reflète l’image, mais l’image est souvent sombre.
Quand l’ego surplombe la conscience et s’active dans la pénombre.
Seul dans une ville de grande solitude.
La face cachée de notre ego ne veut pas perdre son attitude.
Il lutte, il lutte, mais le système l’oppresse.
L’égocentrisme de l’Assassin intervient quand le mental stresse.
L’heure sonne, l’heure sonne, monte les basses au maximum!
Le dédoublement de ma personne s’imbibe de ce qui l’environne.
Sous transfusion du virus de consommation,
J’irais bien karna cet enfoiré vu sa maison.
Vu ma vision, vu que j’ai perdu ma raison,
Laissée à l’abandon dans les rues de cette nation qui m’a vu naître.
Un numéro, une étiquette,
Un nom, un prénom, une classe sociale et bienvenue sur la planète.
Prends à droite, prends à gauche, tout est indiqué, tout est dirigé
Laisse faire l’Etat, le schéma est bien pensé.
Bullshit! Comme le dirait le home boy Aroïne.
L’homme est un loup pour l’homme, mais j’ai décidé de contrôler ma personne.
C’est sûr, c’est dur mais je pense au futur
Puis soudain mon ego me revient à toute allure.
Ramenant le côté impur des pensées malsaines,
Celles qui traînent dans les extrêmes, celles qui font que mon cœur saigne.
Il est en moi, car mon moi est son moi,
Et sans émoi, à la moindre occasion il me foudroie - Booyaka!
Car si je laisse l’égocentrisme me contrôler comme ils le veulent,
Je serai un nouveau naufragé, seul.
Bien seul avec mes pensées quand je m’endors.
Seul, bien seul avec ma rancœur et mes remords.
Le miroir reflète l’image, mais l’image est souvent sombre.
Quand l’ego surplombe la conscience et s’active dans la pénombre.
{au Refrain}
Click, clack le maniak se dédouble en moi,
Mes réflexes sont conditionnés par sa voix.
Qui, elle-même, est le reflet de la tension qui oppresse ma personne.
Dur de rester fresh quand on vit à Babylone!
Pourtant le désespoir est une insulte à l’avenir.
C’est une phrase bien optimiste quant on laisse les gens mourir.
Et mon ego le sait, on ne lui ment pas.
Le seul qui peut le stopper dans ses actes, C’EST....