Les paroles de la chanson
« L'effort de soumission »
Batlik
A mesure que nous avançons
Votre notre triste condition d’insecte.
Je porte un toast à tous ceux qui,
Ont lutté pour que nous puissions nous arracher
A cette condition forcée.
A tous ceux qui pensent que nous sommes
Des humains et pas une somme
De cerveaux disponibles
(?)
A tous ceux qui l’ouvrent bien grand
Activistes et manifestants
A tous nos amis anarchistes
A tous les fous terroristes
Ceux pour qui la démocratie
Se vide de son sang
Elle n’inclue plus le droit de dire non
Sans qu’une faction de flics fonde sur toi
Comme pour chaque quartier sinistré
A qui on demande de la boucler
De ne surtout rien montrer
Et le chèque maintenu d’une politique
Raciste injuste et bâclée
A ceux qui exigent le respect
Malgré les menaces du préfet
Tous ceux qu’on discrimine et puis qu’on incrimine
Enfin aux luttes fières et exemplaires
Dont nous sommes chacun tributaire
Une vague d’immigration venue
Enrichir le sol, le sang et le sens de cette nation
Maintenant qu’on travaille pour les banques
Qu’on sait très bien que rien ne manque
Et que l’Etat de droit n’est là
Que pour garantir la bonne marche de ce système la
Son incessante propagande
Le modèle unique qu’ils nous vend
Les effort qu’il met à réduire le reste en miettes
A grand renfort de chantage sur l’exclusion et le chômage
Et pour les plus endurcis
L’option d’aller taffer pour rien
Au fond d’une prison pourrie
Où les cachetons, télévision, chichons se roulaient
Rempart à la rébellion
Pendant que police et code pénal
Maintiennent la paix sociale
A l’heure où la noblesse d’état
Et son américain d’avocat
Veulent nous donner des leçons
Sur l’effort de soumission
Je porte un toast à la colère
Légitimée sans savoir-faire
Parce que le, c’est déjà ça
C’est à elle qu’on le doit
Votre notre triste condition d’insecte.
Je porte un toast à tous ceux qui,
Ont lutté pour que nous puissions nous arracher
A cette condition forcée.
A tous ceux qui pensent que nous sommes
Des humains et pas une somme
De cerveaux disponibles
(?)
A tous ceux qui l’ouvrent bien grand
Activistes et manifestants
A tous nos amis anarchistes
A tous les fous terroristes
Ceux pour qui la démocratie
Se vide de son sang
Elle n’inclue plus le droit de dire non
Sans qu’une faction de flics fonde sur toi
Comme pour chaque quartier sinistré
A qui on demande de la boucler
De ne surtout rien montrer
Et le chèque maintenu d’une politique
Raciste injuste et bâclée
A ceux qui exigent le respect
Malgré les menaces du préfet
Tous ceux qu’on discrimine et puis qu’on incrimine
Enfin aux luttes fières et exemplaires
Dont nous sommes chacun tributaire
Une vague d’immigration venue
Enrichir le sol, le sang et le sens de cette nation
Maintenant qu’on travaille pour les banques
Qu’on sait très bien que rien ne manque
Et que l’Etat de droit n’est là
Que pour garantir la bonne marche de ce système la
Son incessante propagande
Le modèle unique qu’ils nous vend
Les effort qu’il met à réduire le reste en miettes
A grand renfort de chantage sur l’exclusion et le chômage
Et pour les plus endurcis
L’option d’aller taffer pour rien
Au fond d’une prison pourrie
Où les cachetons, télévision, chichons se roulaient
Rempart à la rébellion
Pendant que police et code pénal
Maintiennent la paix sociale
A l’heure où la noblesse d’état
Et son américain d’avocat
Veulent nous donner des leçons
Sur l’effort de soumission
Je porte un toast à la colère
Légitimée sans savoir-faire
Parce que le, c’est déjà ça
C’est à elle qu’on le doit