Les paroles de la chanson
« L'attente »
Tom Novembre
Attendre, attendre
Sa paye, son repas
Un signe, un emprunt, un emploi
Attendre, attendre
Son bus, son taxi, son train
Son tour, l’amour, du soutien
Attendre son heure
Ou attendre de savoir
Attendre à plusieurs
Dans tous les cas, garder espoir
Du matin au soir
En avance ou en retard
Les bras croisés, attendre en vain
Quelque chose d’autre ou quelqu’un
Faire le poireau, faire le planton
Faire attention à sa tension
Faire le pied de grue ou faire le pet
Planqué à l’affût d’une idée
Attendre de voir passer
Et repasser le passé
Guetter le vent, prévoir le pire
Mettre ses lunettes pour lire l’avenir
On attend le déluge
Ou on attend que ça s’ calme
On attend qu’on nous juge
On attend que ça s’enflamme
Que ça germe, que ça bouille
Que ça sèche, que ça pousse
Le résultat des courses
Au bout du compte, on attend tous
Y en a qui n’ont pas l’ temps d’attendre
De patienter jusqu’à la fin
Pas le temps de poser leurs valises
Ni celui d’ te faire un dessin
Y en a qui n’ont pas le temps d’attendre
Qui disent que la vie est mordante
Qui disent que la mort est vivante
Que les deux sont omniprésentes
Mais quelle qu’en soit la dominante
Quel qu’en soit l’ sens de la pente
Quelle qu’en soit la délivrance
L’attente, elle, est latente
On attend des nouvelles
On attend le moment propice
Un môme, une réponse, un appel
Le messie, l’indice, la police
Dans une agence, chez un médecin
Au coin d’ la rue, au bord du chemin
On attend que ça cicatrise
On s’attend même à des surprises
Avant d’aller s’asseoir
Sur le trottoir d’en face
En attendant Godot
En attendant que ça s’ tasse
On s’amuse comme on peut
On joue à des jeux
Attends-moi
Ne m’attends pas
Si t’y vas, j’y vais avec joie
Si t’attends, j’attends avec toi
Attends-moi, ne m’attends pas {x3}
Attendre, attendre, attendre, attendre
Sa paye, son repas
Un signe, un emprunt, un emploi
Attendre, attendre
Son bus, son taxi, son train
Son tour, l’amour, du soutien
Attendre son heure
Ou attendre de savoir
Attendre à plusieurs
Dans tous les cas, garder espoir
Du matin au soir
En avance ou en retard
Les bras croisés, attendre en vain
Quelque chose d’autre ou quelqu’un
Faire le poireau, faire le planton
Faire attention à sa tension
Faire le pied de grue ou faire le pet
Planqué à l’affût d’une idée
Attendre de voir passer
Et repasser le passé
Guetter le vent, prévoir le pire
Mettre ses lunettes pour lire l’avenir
On attend le déluge
Ou on attend que ça s’ calme
On attend qu’on nous juge
On attend que ça s’enflamme
Que ça germe, que ça bouille
Que ça sèche, que ça pousse
Le résultat des courses
Au bout du compte, on attend tous
Y en a qui n’ont pas l’ temps d’attendre
De patienter jusqu’à la fin
Pas le temps de poser leurs valises
Ni celui d’ te faire un dessin
Y en a qui n’ont pas le temps d’attendre
Qui disent que la vie est mordante
Qui disent que la mort est vivante
Que les deux sont omniprésentes
Mais quelle qu’en soit la dominante
Quel qu’en soit l’ sens de la pente
Quelle qu’en soit la délivrance
L’attente, elle, est latente
On attend des nouvelles
On attend le moment propice
Un môme, une réponse, un appel
Le messie, l’indice, la police
Dans une agence, chez un médecin
Au coin d’ la rue, au bord du chemin
On attend que ça cicatrise
On s’attend même à des surprises
Avant d’aller s’asseoir
Sur le trottoir d’en face
En attendant Godot
En attendant que ça s’ tasse
On s’amuse comme on peut
On joue à des jeux
Attends-moi
Ne m’attends pas
Si t’y vas, j’y vais avec joie
Si t’attends, j’attends avec toi
Attends-moi, ne m’attends pas {x3}
Attendre, attendre, attendre, attendre