Les paroles de la chanson
« L'arbre aux lampions »
Anne Vanderlove
L’arbre aux lampions du vieux jardin
S’est planté au fond de mon cœur
Et ses racines vont si loin
Que peu à peu, depuis, j’en meurs
Je n’en voulais que la douceur
Mais la magie devient sanglot
Car si c’ n’était pas le bonheur
Ça lui ressemblait beaucoup trop
Pleurer devant un téléphone
Je sais que ça ne rime à rien
Et le supplier pour qu’il sonne
Ça rime avec trop de chagrin
Toutes les larmes de mon corps
Toutes mes larmes couleront
Sans rien changer dans ce décor
Qui rime avec ma déraison
Je sais que je ne vivrai pas
Ce bonheur à peine entrevu
Pourtant l’odeur du feu de bois
Me suit dans mon île perdue
Dans le petit jardin secret
L’arbre aux lampions se souvient-il
Des roses maintenant fanées
Qui m’aidaient à rêver ma vie?
Mais la vie doit suivre son cours
Elle ne fait pas de sentiment
Même si moi, jours après jours
J’arrête la marche du temps
Ne me demandez pas "pourquoi?"
Je ne sais pas, je ne sais plus
Le printemps est si loin de moi
Et l’automne n’en finit plus
Je sais déjà le vide immense
À vivre à l’envers des miroirs
La solitude folle qui danse
Et hurle au fond de la mémoire
Être heureux, ce n’est pas facile
Et encore moins de faire semblant
Alors moi, j’ fais l’ clown sur un fil
Même si je tombe de temps en temps
Dans le petit jardin si tendre
Dans le petit jardin perdu
Les feuilles mortes de novembre
S’amoncellent de plus en plus
Mais l’arbre aux lampions, dans mon cœur,
Même s’il a perdu ses guirlandes
Me laisse comme une drôle de douceur
Ou quelque chose qui lui ressemble
{parlé:}
Quand je me suis retournée
Je n’ai vu dans le sable derrière moi
Qu’une trace unique de pas
Et je me suis crue abandonnée
Mais ces traces étaient les vôtres
Car vous me portiez dans vos bras
S’est planté au fond de mon cœur
Et ses racines vont si loin
Que peu à peu, depuis, j’en meurs
Je n’en voulais que la douceur
Mais la magie devient sanglot
Car si c’ n’était pas le bonheur
Ça lui ressemblait beaucoup trop
Pleurer devant un téléphone
Je sais que ça ne rime à rien
Et le supplier pour qu’il sonne
Ça rime avec trop de chagrin
Toutes les larmes de mon corps
Toutes mes larmes couleront
Sans rien changer dans ce décor
Qui rime avec ma déraison
Je sais que je ne vivrai pas
Ce bonheur à peine entrevu
Pourtant l’odeur du feu de bois
Me suit dans mon île perdue
Dans le petit jardin secret
L’arbre aux lampions se souvient-il
Des roses maintenant fanées
Qui m’aidaient à rêver ma vie?
Mais la vie doit suivre son cours
Elle ne fait pas de sentiment
Même si moi, jours après jours
J’arrête la marche du temps
Ne me demandez pas "pourquoi?"
Je ne sais pas, je ne sais plus
Le printemps est si loin de moi
Et l’automne n’en finit plus
Je sais déjà le vide immense
À vivre à l’envers des miroirs
La solitude folle qui danse
Et hurle au fond de la mémoire
Être heureux, ce n’est pas facile
Et encore moins de faire semblant
Alors moi, j’ fais l’ clown sur un fil
Même si je tombe de temps en temps
Dans le petit jardin si tendre
Dans le petit jardin perdu
Les feuilles mortes de novembre
S’amoncellent de plus en plus
Mais l’arbre aux lampions, dans mon cœur,
Même s’il a perdu ses guirlandes
Me laisse comme une drôle de douceur
Ou quelque chose qui lui ressemble
{parlé:}
Quand je me suis retournée
Je n’ai vu dans le sable derrière moi
Qu’une trace unique de pas
Et je me suis crue abandonnée
Mais ces traces étaient les vôtres
Car vous me portiez dans vos bras