Les paroles de la chanson
« L'arbre »
Georges Chelon
Il est né, il y a près de cent ans
Loin de Paris dans un champ
Les pieds presque dans la rivière
Quand il eut quelque vingt printemps
De l’avis des paysans
Il serait chêne centenaire
Les oiseaux venaient se poser
Sur ses branches et le dimanche
Les amoureux sous lui venaient y faire l’amour
Les amoureux sous lui venaient y faire l’amour
Il vivait il y a cinquante ans
Loin de Paris dans un champ
A quelques pas de la rivière
Son faîte narguait le vent
Et de l’avis des quelques paysans
C’était un arbre de bonne terre
Des oiseaux venaient se poser
Sur ses branches et le dimanche
Des amoureux sur lui gravaient des mots d’amour
Des amoureux sur lui gravaient des mots d’amour
Il survivait il y a vingt ans
Dans un coin de banlieue, dans un champ
Ses racines cherchaient la rivière
Son faîte ployait au vent
Un vent d’usines, un vent malodorant
Enfin il lui restait la terre
Quelques oiseaux venaient se poser
Sur ses branches et le dimanche
Un enfant déçu barrait ses mots d’amour
Un enfant déçu barrait ses mots d’amour
On le trouve maintenant
Dans un square de banlieue près des champs
On a détourné la rivière
Un oiseau vient se poser
Sur sa branche et le dimanche
Les passants curieux lisent ses mots d’amour
Les passants curieux rient de ces mots d’amour
Loin de Paris dans un champ
Les pieds presque dans la rivière
Quand il eut quelque vingt printemps
De l’avis des paysans
Il serait chêne centenaire
Les oiseaux venaient se poser
Sur ses branches et le dimanche
Les amoureux sous lui venaient y faire l’amour
Les amoureux sous lui venaient y faire l’amour
Il vivait il y a cinquante ans
Loin de Paris dans un champ
A quelques pas de la rivière
Son faîte narguait le vent
Et de l’avis des quelques paysans
C’était un arbre de bonne terre
Des oiseaux venaient se poser
Sur ses branches et le dimanche
Des amoureux sur lui gravaient des mots d’amour
Des amoureux sur lui gravaient des mots d’amour
Il survivait il y a vingt ans
Dans un coin de banlieue, dans un champ
Ses racines cherchaient la rivière
Son faîte ployait au vent
Un vent d’usines, un vent malodorant
Enfin il lui restait la terre
Quelques oiseaux venaient se poser
Sur ses branches et le dimanche
Un enfant déçu barrait ses mots d’amour
Un enfant déçu barrait ses mots d’amour
On le trouve maintenant
Dans un square de banlieue près des champs
On a détourné la rivière
Un oiseau vient se poser
Sur sa branche et le dimanche
Les passants curieux lisent ses mots d’amour
Les passants curieux rient de ces mots d’amour