Les paroles de la chanson
« L'appétit vient en mangeant »
Le Quatuor Alouette
Quand un homme se fait riche
Cela se voit tous les jours
Il travaille, il se fait chiche
Afin d’ ramasser toujours.
L’amoureux, quand on lui donne,
Fait comme ces gens d’argent
Avec sa belle il fredonne :
L’appétit vient en mangeant
Avec sa belle il fredonne :
L’appétit vient en mangeant
Jean qui courtisait Lisette
Depuis huit jours seulement
Prit un soir à la cachette
Un baiser tendre et brûlant
Ah! laissez-moi donc, dit-elle,
Vous êtes parfois gourmand
Encore un, la demoiselle,
L’appétit vient en mangeant
Encore un, la demoiselle,
L’appétit vient en mangeant
Le lendemain la fillette
S’en fut trouver sa maman
Et lui dit : Me voilà prête
À me marier vraiment.
Mais viens-tu folle ma chère?
Tu connais à peine Jean!
Ah! ça ne fait rien ma mère
L’appétit vient en mangeant
Ah! ça ne fait rien ma mère
L’appétit vient en mangeant
Puis bientôt, elle devint veuve
Elle eut un chagrin profond
Mais la chose n’est pas neuve
Elle en reprit un second
Après la mort d’un troisième
Elle dit en soupirant :
J’en voudrais un quatrième
L’appétit vient en mangeant
J’en voudrais un quatrième
L’appétit vient en mangeant
Cela se voit tous les jours
Il travaille, il se fait chiche
Afin d’ ramasser toujours.
L’amoureux, quand on lui donne,
Fait comme ces gens d’argent
Avec sa belle il fredonne :
L’appétit vient en mangeant
Avec sa belle il fredonne :
L’appétit vient en mangeant
Jean qui courtisait Lisette
Depuis huit jours seulement
Prit un soir à la cachette
Un baiser tendre et brûlant
Ah! laissez-moi donc, dit-elle,
Vous êtes parfois gourmand
Encore un, la demoiselle,
L’appétit vient en mangeant
Encore un, la demoiselle,
L’appétit vient en mangeant
Le lendemain la fillette
S’en fut trouver sa maman
Et lui dit : Me voilà prête
À me marier vraiment.
Mais viens-tu folle ma chère?
Tu connais à peine Jean!
Ah! ça ne fait rien ma mère
L’appétit vient en mangeant
Ah! ça ne fait rien ma mère
L’appétit vient en mangeant
Puis bientôt, elle devint veuve
Elle eut un chagrin profond
Mais la chose n’est pas neuve
Elle en reprit un second
Après la mort d’un troisième
Elle dit en soupirant :
J’en voudrais un quatrième
L’appétit vient en mangeant
J’en voudrais un quatrième
L’appétit vient en mangeant